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Il y a des espoirs que l'on voit s'envoler,
A la tombée du soir vers des terres lointaines,
Des illusions perdues qui ont su convoler,
Dans les cieux, inconnues, désertant nos fontaines...
Je crois bien que ce soir je vais vitrioler,
Avec mon désespoir dans des calembredaines,
Je veux, peine perdue, même cambrioler,
Le coeur d'une ingénue, vierge de mes fredaines...
Je glisse lentement des mots sur le papier,
Rimant ouvertement avec la marche-à-pieds,
Dans laquelle je fuis la fureur de ce monde.
Tiens, je clôture enfin sur mon bonheur-du-jour,
Mon incurable faim d'historiettes d'amour,
Dans lesquelles je suis un prédateur immonde.
25 octobre 2020
A la tombée du soir vers des terres lointaines,
Des illusions perdues qui ont su convoler,
Dans les cieux, inconnues, désertant nos fontaines...
Je crois bien que ce soir je vais vitrioler,
Avec mon désespoir dans des calembredaines,
Je veux, peine perdue, même cambrioler,
Le coeur d'une ingénue, vierge de mes fredaines...
Je glisse lentement des mots sur le papier,
Rimant ouvertement avec la marche-à-pieds,
Dans laquelle je fuis la fureur de ce monde.
Tiens, je clôture enfin sur mon bonheur-du-jour,
Mon incurable faim d'historiettes d'amour,
Dans lesquelles je suis un prédateur immonde.
25 octobre 2020
