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- Au pied des volcans d'auvergne
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Qu'ai-je fait de ma vie, si tant elle dévore ?
Si encore, j'ouvre la boîte de Pandore
Errant dans ce monde ingrat et qui exclut
Combien j'ai préféré être sans absolu ?
Le ciel est sombrement cruel, parfois occulte
M'a-t-il un jour guéri des instants de tumultes
Ai-je pu seulement me ravir un instant ?
Quand bien même reçu, le mal est résistant.
Mon cœur pleure et soupire et sans cesse s'alarme
Sans que jamais l'espoir vienne sécher mes larmes
Dans ce monde perdu, je vais dans l'inconnu
Ne sachant pas de quoi, demain sera pourvu
L'émoi est quotidien aux dangers qui menacent
Rien ni les fortes joies ne peut donner grâce
À ce grand tumulte qui appelle au courroux
Les limites rompues brisent les garde-fous
La nature sonne l'alarme en grande rage
Semant d'abondance tornades et orages
Le bouleversement fait ce monde incertain
Et la peur au ventre, que deviendra demain ?
L'homme, cet assassin voulant plus de richesse
Sans honte et en guerre, semant grande détresse
Tuant des innocents sans avoir de remords
La calomnie est pain béni pour ses retors !
Et pourtant, plaisante pourrait être la vie
Si le genre humain était sans hypocrisie
Et que le bienfait soit rendu impartial
Ô, monde, tu serrais si beau, si social !
Tango. 08/03/2025.
Si encore, j'ouvre la boîte de Pandore
Errant dans ce monde ingrat et qui exclut
Combien j'ai préféré être sans absolu ?
Le ciel est sombrement cruel, parfois occulte
M'a-t-il un jour guéri des instants de tumultes
Ai-je pu seulement me ravir un instant ?
Quand bien même reçu, le mal est résistant.
Mon cœur pleure et soupire et sans cesse s'alarme
Sans que jamais l'espoir vienne sécher mes larmes
Dans ce monde perdu, je vais dans l'inconnu
Ne sachant pas de quoi, demain sera pourvu
L'émoi est quotidien aux dangers qui menacent
Rien ni les fortes joies ne peut donner grâce
À ce grand tumulte qui appelle au courroux
Les limites rompues brisent les garde-fous
La nature sonne l'alarme en grande rage
Semant d'abondance tornades et orages
Le bouleversement fait ce monde incertain
Et la peur au ventre, que deviendra demain ?
L'homme, cet assassin voulant plus de richesse
Sans honte et en guerre, semant grande détresse
Tuant des innocents sans avoir de remords
La calomnie est pain béni pour ses retors !
Et pourtant, plaisante pourrait être la vie
Si le genre humain était sans hypocrisie
Et que le bienfait soit rendu impartial
Ô, monde, tu serrais si beau, si social !
Tango. 08/03/2025.
