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Poème Quelle EURYDICE ? Trois heure ICARE !

Peniculo

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#1
Quelle Eurydice ? Trois heures Icare !



Il était une fois des hommes politiques
Qui avaient les neurones quelque peu anémiques
Comme c’est souvent le cas dans cette engeance là
Qui privée de talent n’a que du blablabla

Voulant prouver au monde une toute puissance
Ils se réunirent tous pour une conférence
Et décidèrent soudain de faire croire aux votants
Qu’il étaient devenus les grands maîtres du temps

On tripota une heure qui huilée de bêtise
Venait en plus en moins démonter leur sottise
Car nul ne démontra si ce remue-ménage
Avait pour les bipèdes un quelconque avantage.

Ils paraissaient savants en tournant les aiguilles
Ajoutant ou ôtant aux heures des béquilles
Sans ne jamais prouver l’intérêt de la chose
L’énergie prétextée fanait toujours ses roses

Bref on en vint à dire supprimons cet ennui
Car l’heure décalée est un arbre sans fruits
Et nul n’a pu prouvé l’intérêt minuscule
Pour le bon citoyen qui tripote ses pendules.

Mais comme à l’habitude on en parla beaucoup
Sans oser décider cessons ce jeu de fou
Le temps est ce qu’il est et éternellement
Il rigole de l’homme qu’il tue finalement..

Et s’il était possible de le rendre élastique
De doper les neurones des faunes politiques
On effacerait tout sans faire de façons
Car le temps reste fixe et c’est nous qui passons!




 
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#4
Quelle Eurydice ? Trois heures Icare !



Il était une fois des hommes politiques
Qui avaient les neurones quelque peu anémiques
Comme c’est souvent le cas dans cette engeance là
Qui privée de talent n’a que du blablabla

Voulant prouver au monde une toute puissance
Ils se réunirent tous pour une conférence
Et décidèrent soudain de faire croire aux votants
Qu’il étaient devenus les grands maîtres du temps

On tripota une heure qui huilée de bêtise
Venait en plus en moins démonter leur sottise
Car nul ne démontra si ce remue-ménage
Avait pour les bipèdes un quelconque avantage.

Ils paraissaient savants en tournant les aiguilles
Ajoutant ou ôtant aux heures des béquilles
Sans ne jamais prouver l’intérêt de la chose
L’énergie prétextée fanait toujours ses roses

Bref on en vint à dire supprimons cet ennui
Car l’heure décalée est un arbre sans fruits
Et nul n’a pu prouvé l’intérêt minuscule
Pour le bon citoyen qui tripote ses pendules.

Mais comme à l’habitude on en parla beaucoup
Sans oser décider cessons ce jeu de fou
Le temps est ce qu’il est et éternellement
Il rigole de l’homme qu’il tue finalement..

Et s’il était possible de le rendre élastique
De doper les neurones des faunes politiques
On effacerait tout sans faire de façons
Car le temps reste fixe et c’est nous qui passons!




Un grand remue méninges pour rien
Bravo Peniculo
 
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