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Qu'importe !
T'es comme le café noir
Qui s'boit au p'tit matin et après déjeuner
Et même un peu après
Ou bien toute la journée …
Ca m'empêche pas d'dormir
Quand on aime on dort pas
On compte ses soupirs
Pendant que le cœur bat
Qu'importe !
T'es comme une fleur nouvelle
Qu'arrive comme le printemps
Avec les hirondelles
Et poussée par le vent
Et moi ça m'émerveille
Je suis comme un enfant
Qui cueille le soleil
Sans mettre une paire de gants
Qu'importe !
T'es comme un sourire
Plaqué sur la misère
Et le noir devient gris
Et le gris devient rose
Où que les yeux se posent
Et moi je bois ta vie avec avidité
Sans jamais me saoûler
Je suis hypnotisé
Qu'importe !
Si tu prends tes désirs pour mes rêves
Ou tes rêves pour mes désirs
Si tu me laisses les miettes d'une réalité
Qu'a pas fini de m'faire souffrir
Tant pis je prends tout
Quand on aime on prend tout
Sans demander son reste
D'abord y'a plus de restes
Quand on perd on perd tout
Et moi j'veux tout miser
Qu'importe
Puisque je t'aime
Z.
T'es comme le café noir
Qui s'boit au p'tit matin et après déjeuner
Et même un peu après
Ou bien toute la journée …
Ca m'empêche pas d'dormir
Quand on aime on dort pas
On compte ses soupirs
Pendant que le cœur bat
Qu'importe !
T'es comme une fleur nouvelle
Qu'arrive comme le printemps
Avec les hirondelles
Et poussée par le vent
Et moi ça m'émerveille
Je suis comme un enfant
Qui cueille le soleil
Sans mettre une paire de gants
Qu'importe !
T'es comme un sourire
Plaqué sur la misère
Et le noir devient gris
Et le gris devient rose
Où que les yeux se posent
Et moi je bois ta vie avec avidité
Sans jamais me saoûler
Je suis hypnotisé
Qu'importe !
Si tu prends tes désirs pour mes rêves
Ou tes rêves pour mes désirs
Si tu me laisses les miettes d'une réalité
Qu'a pas fini de m'faire souffrir
Tant pis je prends tout
Quand on aime on prend tout
Sans demander son reste
D'abord y'a plus de restes
Quand on perd on perd tout
Et moi j'veux tout miser
Qu'importe
Puisque je t'aime
Z.