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On ne le sait que trop
Cet objet est perverse
Il attire les salauds
Et les « Maintenon » en laisse
Que de couples dit-on
Se séparent aujourd’hui
Découvrant dans ce fond
De quoi jouir sans morale
Triste sort jeté sur l’humain aux envies
Plus prompt à désirer pour un soir, une nuit
Assouvir ses pulsions, ses fantasmographies
Abandonnant le bon sens du couple qui s’adore
Et les pauvres enfants dans ce monde a deux maisons
Sont ils des victimes ou juste de simples pions
Y trouve t’ils leur place, comprennent il la raison
Qui font que défilent sans crier gare
Des femmes ou bien des hommes
Qu’on dit être compagnon
Quel image lui donne
Cette vie d’abandon
Aux vices de leur parents
Qui en oublie surement
Le chemin engagé
De l’amour partagé
De fonder un foyer
D’élever les petiots
Qui éclatent en sanglots
Cet objet est perverse
Il attire les salauds
Et les « Maintenon » en laisse
Que de couples dit-on
Se séparent aujourd’hui
Découvrant dans ce fond
De quoi jouir sans morale
Triste sort jeté sur l’humain aux envies
Plus prompt à désirer pour un soir, une nuit
Assouvir ses pulsions, ses fantasmographies
Abandonnant le bon sens du couple qui s’adore
Et les pauvres enfants dans ce monde a deux maisons
Sont ils des victimes ou juste de simples pions
Y trouve t’ils leur place, comprennent il la raison
Qui font que défilent sans crier gare
Des femmes ou bien des hommes
Qu’on dit être compagnon
Quel image lui donne
Cette vie d’abandon
Aux vices de leur parents
Qui en oublie surement
Le chemin engagé
De l’amour partagé
De fonder un foyer
D’élever les petiots
Qui éclatent en sanglots
