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Mes Marten’s abimées, mon sac en coton;
Aussi pâle que mon teint, ou de tristes flocons
J’avance dans ce dédale de ruelles
Près de l’église, archaïque, et si belle
La tête pleine d’idées un brin trop morbides
Des sentiments sans cesse chrysalides
Des échanges sibyllins, sans le vouloir incomprise…
Comprenez que je ne vois, autour que des brises
Des brises oniriques, dans le ciel dans mes yeux
Je me lasse de mon esprit, jamais paresseux
Qui entame sans cesse de sinistres logorrhées
Puissantes comme un fusil à très grande portée
Me promenant sous la rêche pluie d’automne
J’ai vu collé au mur, des tonnes et des tonnes
De révoltes d’indigné.e.s, mouillées, déchirées
Déchirées par ces gens étroitement scellés
Aussi pâle que mon teint, ou de tristes flocons
J’avance dans ce dédale de ruelles
Près de l’église, archaïque, et si belle
La tête pleine d’idées un brin trop morbides
Des sentiments sans cesse chrysalides
Des échanges sibyllins, sans le vouloir incomprise…
Comprenez que je ne vois, autour que des brises
Des brises oniriques, dans le ciel dans mes yeux
Je me lasse de mon esprit, jamais paresseux
Qui entame sans cesse de sinistres logorrhées
Puissantes comme un fusil à très grande portée
Me promenant sous la rêche pluie d’automne
J’ai vu collé au mur, des tonnes et des tonnes
De révoltes d’indigné.e.s, mouillées, déchirées
Déchirées par ces gens étroitement scellés
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