- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,279
- J'aime
- 5,837
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Sans Hermance comment eut tourné mon destin ?
Je me souviens fort bien de la charmante Hermance
Copine de maman habitant à coté
Qui alors que j’allais vers la maturité
Me fit sortir un jour de ma sotte ignorance
Je l’aidais quelques fois aux travaux de ménage
Elle avait le vertige n’aimait pas l’escabeau
Pour elle je nettoyais tous ses carreaux du haut
En échange d’un café et d’un doux bavardage
En dissertant des bases du plaisir féminin
Hermance s’aperçut qu’à maintes théories
Je n’avais pas donné pratique féerie
Et me dit commençons par les joies de la main
Me montrant la façon dont les adresse plaisent
Elle se caressa me fit sucer ses doigts
J’en perçus l’intérêt en ressentis l’émoi
Un fort durcissement me mit fort mal à l’aise
Certains engagements sont des fatalités
Et Hermance se montrant pédagogue sensuelle
J’acquis facilement l’éducation charnelle
Et par l’expérience quelque dextérité .
Les études prenant des efforts et du temps
Je restais attaché à ses tendres visites
D‘une grande discrétion elle avait le mérite
Et nul ne devina nos jeux intermittents.
Hermance grand merci instruit de vos savoirs
Je fus grâce à vos cours passablement habile
Si je pus enchanter en me montrant agile
C’est que vous m’enseignâtes à ne point décevoir
Mais ayant élégance d’aimer modérément
J’eus lors de mes étude assez peu d’aventures
Quelques copines ayant découvert ma nature
Voulaient des rendez vous durant suffisamment.
Enfin s’en vint le jour où passant par le cœur
L’envie, telle un soleil, me révéla la femme
Et tu cristallisas tout l’amour dans mon âme
Restant à tout jamais mon désir mon bonheur.
Je me souviens fort bien de la charmante Hermance
Copine de maman habitant à coté
Qui alors que j’allais vers la maturité
Me fit sortir un jour de ma sotte ignorance
Je l’aidais quelques fois aux travaux de ménage
Elle avait le vertige n’aimait pas l’escabeau
Pour elle je nettoyais tous ses carreaux du haut
En échange d’un café et d’un doux bavardage
En dissertant des bases du plaisir féminin
Hermance s’aperçut qu’à maintes théories
Je n’avais pas donné pratique féerie
Et me dit commençons par les joies de la main
Me montrant la façon dont les adresse plaisent
Elle se caressa me fit sucer ses doigts
J’en perçus l’intérêt en ressentis l’émoi
Un fort durcissement me mit fort mal à l’aise
Certains engagements sont des fatalités
Et Hermance se montrant pédagogue sensuelle
J’acquis facilement l’éducation charnelle
Et par l’expérience quelque dextérité .
Les études prenant des efforts et du temps
Je restais attaché à ses tendres visites
D‘une grande discrétion elle avait le mérite
Et nul ne devina nos jeux intermittents.
Hermance grand merci instruit de vos savoirs
Je fus grâce à vos cours passablement habile
Si je pus enchanter en me montrant agile
C’est que vous m’enseignâtes à ne point décevoir
Mais ayant élégance d’aimer modérément
J’eus lors de mes étude assez peu d’aventures
Quelques copines ayant découvert ma nature
Voulaient des rendez vous durant suffisamment.
Enfin s’en vint le jour où passant par le cœur
L’envie, telle un soleil, me révéla la femme
Et tu cristallisas tout l’amour dans mon âme
Restant à tout jamais mon désir mon bonheur.
Dernière édition:
