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Ils prirent racine au centre du sable mouvant
Acceptèrent les monstres, l'orage, et les tourments
Ils mirent sur leurs rétines les ombres des ténèbres
Et la mélancolie, prit des allures de funèbres
Aigris, ils donnèrent aux fauvettes ;
À picorer leur mal être au bord de la fenêtre
Et toutes ainsi devinrent, de acerbes corbeaux
Mais Dieu enjolive, les tristes et coeurs beaux
Et puis la descendance, innocente, prit racine
Au centre du bitume, au centre des épines
Mais pour ces mornes gens, la pluie à beau tomber
Semée dans le sol corsé, la graine ne peut pousser
Acceptèrent les monstres, l'orage, et les tourments
Ils mirent sur leurs rétines les ombres des ténèbres
Et la mélancolie, prit des allures de funèbres
Aigris, ils donnèrent aux fauvettes ;
À picorer leur mal être au bord de la fenêtre
Et toutes ainsi devinrent, de acerbes corbeaux
Mais Dieu enjolive, les tristes et coeurs beaux
Et puis la descendance, innocente, prit racine
Au centre du bitume, au centre des épines
Mais pour ces mornes gens, la pluie à beau tomber
Semée dans le sol corsé, la graine ne peut pousser