Hors ligne
Assis sur ma chaise les lunettes aux yeux, je respire l'air pur qui agite les palmiers dans ma cour. le vent qui passe et repasse, souffle sur moi d'une légère chaleur. Mon oreille gauche ne fait qu'ouir le son du plastique volant au dessus du sol vers l'autre bout de la cour. les cris d'oiseaux au rythme d'une flute de roseau me font rappel de ces jeunes jours passés dans la maison de mon père. je les entends voltiger en masse d'un bout à l'autre sans arrêt.
Des figures très peu descriptibles se dissipent au fur et à mesure aux angles de ma maison. Je me sens alors contraint de bien enfiler mon pardessus et ramener ma canne à ma poitrine. Les pas de gamins fous de joie, retiennent mon esprit déja préoccupé par le froid qui menace. je ressens brusquement deux mouvements bien distincts comme voulant caresser mes sandales Je prends peur et comprends très vite que c'est un lézard qui voudrait s'échapper. Un court silence vient casser l'ambiance qui règne et un vent mécontent souffle subitement. Mon képi s'envole laissant à la merci du vent, mon crane chauve fort sensible. Je me mets donc à toussoter, à cause de la poussière qui me monte aux narines.
Lorsque je reviens à moi, je me retrouve assis sur ma chaise, mon képi bien posé sur ma tête et entouré de neige. je réalise enfin que ce n'etait qu'un rêve et mon voeux de revivre encore un coucher du soleil africain.
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Des figures très peu descriptibles se dissipent au fur et à mesure aux angles de ma maison. Je me sens alors contraint de bien enfiler mon pardessus et ramener ma canne à ma poitrine. Les pas de gamins fous de joie, retiennent mon esprit déja préoccupé par le froid qui menace. je ressens brusquement deux mouvements bien distincts comme voulant caresser mes sandales Je prends peur et comprends très vite que c'est un lézard qui voudrait s'échapper. Un court silence vient casser l'ambiance qui règne et un vent mécontent souffle subitement. Mon képi s'envole laissant à la merci du vent, mon crane chauve fort sensible. Je me mets donc à toussoter, à cause de la poussière qui me monte aux narines.
Lorsque je reviens à moi, je me retrouve assis sur ma chaise, mon képi bien posé sur ma tête et entouré de neige. je réalise enfin que ce n'etait qu'un rêve et mon voeux de revivre encore un coucher du soleil africain.
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