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Si ça ne sort pas de la famille…..
Pourquoi lui dit cousine Hortense
Quand je caresse votre oiseau
Il se dresse de bas en haut
Et prends soudain de l’importance
Ce n’est qu’une concupiscence
Qui anime les animaux
Et prédispose leur libido
Aux délectables alliances
Vous même avez un doux secret
Qui dévoile de l’intérêt
Si habilement on l’enchante
Mais vous vous montrez réticente
À goûter de ma main l’attrait
Et ses démarches caressantes
Hermance pourtant la chose est sûre
Vous ne risquez rien du tout
Si de baisers soyeux et doux
On déguste votre nature
Vous raviriez votre parure
D’un enchantement du bijou
Sans les mains y prendriez goût
C’est un fleuron de la luxure
Cousin osez mais lentement
C’est pour moi un commencement
Qui exige une réussite
Jamais je ne me précipite
Je suis méthodique et gourmand
Vous ravir sera mon mérite.
Ainsi ils prirent l’habitude
D’échanges de jeux sensuels
Se montrant sur le plan charnel
De gourmandes sollicitudes
Voulant offrir la certitude
Que nul voyage sexuel
Ne romprait son écran charnel
Jusqu’à l’union elle fut prude.
Voulant comparer les émois
Elle chercha une autre joie
Après le marital voyage
Le cousin aima des partages
Qui l’enchantèrent tant de fois
Qu’à trois elle fit son ménage
Se connaître parfaitement
sans limiter les découvertes
Firent leurs tentatives expertes
Sans le moindre désagrément
Maitrisant le cheminement
Des voluptés restant offertes
Ils osaient des lenteurs alertes
Prolongeant chaque événement.
Et le cocu systématique
L’aveugle époux convenait bien
Le cousin étant idyllique
Hermance aima toujours ce lien
Offrant des extases physiques
Sans voir que son cœur était sien.
Ce n’est qu’arrivée en enfer
Où la luxure est bienvenue
Qu’ Hermance y étant parvenue
Vit son cousin voulant lui plaire.
Il lui dit votre partenaire
Au paradis est retenu
Enfin d’étreintes assidues
Osons ici nous satisfaire
Et depuis on dit bien souvent
Les bonheurs n’ont pas même allure
Sur la terre ou bien chez Satan
Car grand amateur de luxure
L'enfer vous accorde le temps
De délicieuses démesures.
Pourquoi lui dit cousine Hortense
Quand je caresse votre oiseau
Il se dresse de bas en haut
Et prends soudain de l’importance
Ce n’est qu’une concupiscence
Qui anime les animaux
Et prédispose leur libido
Aux délectables alliances
Vous même avez un doux secret
Qui dévoile de l’intérêt
Si habilement on l’enchante
Mais vous vous montrez réticente
À goûter de ma main l’attrait
Et ses démarches caressantes
Hermance pourtant la chose est sûre
Vous ne risquez rien du tout
Si de baisers soyeux et doux
On déguste votre nature
Vous raviriez votre parure
D’un enchantement du bijou
Sans les mains y prendriez goût
C’est un fleuron de la luxure
Cousin osez mais lentement
C’est pour moi un commencement
Qui exige une réussite
Jamais je ne me précipite
Je suis méthodique et gourmand
Vous ravir sera mon mérite.
Ainsi ils prirent l’habitude
D’échanges de jeux sensuels
Se montrant sur le plan charnel
De gourmandes sollicitudes
Voulant offrir la certitude
Que nul voyage sexuel
Ne romprait son écran charnel
Jusqu’à l’union elle fut prude.
Voulant comparer les émois
Elle chercha une autre joie
Après le marital voyage
Le cousin aima des partages
Qui l’enchantèrent tant de fois
Qu’à trois elle fit son ménage
Se connaître parfaitement
sans limiter les découvertes
Firent leurs tentatives expertes
Sans le moindre désagrément
Maitrisant le cheminement
Des voluptés restant offertes
Ils osaient des lenteurs alertes
Prolongeant chaque événement.
Et le cocu systématique
L’aveugle époux convenait bien
Le cousin étant idyllique
Hermance aima toujours ce lien
Offrant des extases physiques
Sans voir que son cœur était sien.
Ce n’est qu’arrivée en enfer
Où la luxure est bienvenue
Qu’ Hermance y étant parvenue
Vit son cousin voulant lui plaire.
Il lui dit votre partenaire
Au paradis est retenu
Enfin d’étreintes assidues
Osons ici nous satisfaire
Et depuis on dit bien souvent
Les bonheurs n’ont pas même allure
Sur la terre ou bien chez Satan
Car grand amateur de luxure
L'enfer vous accorde le temps
De délicieuses démesures.