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Si on recourait aux sciences occultes ?
Il était une fois une aimable sorcière
Contrainte à être chaste lors de la pandémie
Qui se dit copulons, Mais trouvons la manière
D’ajouter des euros à mes économies.
Il faut de la distance un mètre parait-il
Et puis être masqué ce qui semble logique
Il faut trouver un sort efficace et subtil
Je vais donc réviser mon mémento magique
Après une cuisine de diverses horreurs
La dame concocta un savant électuaire
Qui se vendit fort bien, les mâles avec bonheur
Purent honorer les dames sans risque sanitaire.
La drogue prise avant toute concupiscence
Allongeait de deux mètres le plaisant instrument
On pouvait donc aux belles dévoiler sa puissance
Sans nuire aux exigences du lourd confinement
À distance et masqués les amants s’apaisaient
Selon le moyen qu’ Eve proposa à Adam
L’étreinte terminée l’appareil mollissait
On le rangeait alors d’un simple enroulement .
Hélas la sorcière ne se méfiant pas
Vendit l’électuaire en quantité énorme
Et comme le breveter eut été délicat
On commercialisa le remède sans norme.
L’état qui veut tirer de tout quelque profit
Obligea par décret le port d’un enrouleur
Qu’il taxa sans pitié par un légal édit
Le coït imposé gagna de la valeur.
Mais il faut relater un souci déplorable
Les récolteur de taxes les vilains grippe-sous
D’utiliser la chose n’étaient pas tous capables
La nature implacable leur faisait l’objet mou.
On m’a dit que certains mécontents des élus
Sortaient de l’enrouleur par jeu leur long physique
Et lassés des impôts et autres plus-values
En faisaient trébucher les hommes politiques
Les dames refusant la politique engeance
Demandaient aux gourmands une attestation
Prouvant qu’ils haïssaient de l’état les finances
Et qu’ils tournaient le dos à toute perception.
Hélas la sorcière imposée sur sa gloire
Déserta la planète pour éviter l’impôt
Emmenant l’ invention au sort trop provisoire
Et les concupiscents furent mis au repos.
Il était une fois une aimable sorcière
Contrainte à être chaste lors de la pandémie
Qui se dit copulons, Mais trouvons la manière
D’ajouter des euros à mes économies.
Il faut de la distance un mètre parait-il
Et puis être masqué ce qui semble logique
Il faut trouver un sort efficace et subtil
Je vais donc réviser mon mémento magique
Après une cuisine de diverses horreurs
La dame concocta un savant électuaire
Qui se vendit fort bien, les mâles avec bonheur
Purent honorer les dames sans risque sanitaire.
La drogue prise avant toute concupiscence
Allongeait de deux mètres le plaisant instrument
On pouvait donc aux belles dévoiler sa puissance
Sans nuire aux exigences du lourd confinement
À distance et masqués les amants s’apaisaient
Selon le moyen qu’ Eve proposa à Adam
L’étreinte terminée l’appareil mollissait
On le rangeait alors d’un simple enroulement .
Hélas la sorcière ne se méfiant pas
Vendit l’électuaire en quantité énorme
Et comme le breveter eut été délicat
On commercialisa le remède sans norme.
L’état qui veut tirer de tout quelque profit
Obligea par décret le port d’un enrouleur
Qu’il taxa sans pitié par un légal édit
Le coït imposé gagna de la valeur.
Mais il faut relater un souci déplorable
Les récolteur de taxes les vilains grippe-sous
D’utiliser la chose n’étaient pas tous capables
La nature implacable leur faisait l’objet mou.
On m’a dit que certains mécontents des élus
Sortaient de l’enrouleur par jeu leur long physique
Et lassés des impôts et autres plus-values
En faisaient trébucher les hommes politiques
Les dames refusant la politique engeance
Demandaient aux gourmands une attestation
Prouvant qu’ils haïssaient de l’état les finances
Et qu’ils tournaient le dos à toute perception.
Hélas la sorcière imposée sur sa gloire
Déserta la planète pour éviter l’impôt
Emmenant l’ invention au sort trop provisoire
Et les concupiscents furent mis au repos.