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Je me souviens de vous de ma main dans la vôtre
Quand chaque battement de ce coeur en mon corps
Qui était tout à vous et voudrait tant encore
Tambouriner plus fort de par chez vous entre autre
Vous seriez là assise au café de l'apôtre
Cherchant furtivement le moindre réconfort
Soupirant à la vue de votre soleil d'or
Et l'idée d'entrevoir bonheur qui serait nôtre
Nous nous sommes écrit des lettres enflammées
Nos mots étaient si fous nos envies si osées
Qu'ils ne suffisaient plus à assouvir nos coeurs
J'ai fait le plein des sens pour venir jusqu'à vous
Vivaldi résonnait dans tous mes haut-parleurs
La route était si belle à vous savoir au bout.
Moïse Wolff
Texte modifié
Le 10/11/2020
Tous droits réservés
Je me souviens de vous de ma main dans la vôtre
Quand chaque battement de ce coeur en mon corps
Qui était tout à vous et voudrait tant encore
Tambouriner plus fort de par chez vous entre autre
Vous seriez là assise au café de l'apôtre
Cherchant furtivement le moindre réconfort
Soupirant à la vue de votre soleil d'or
Et l'idée d'entrevoir bonheur qui serait nôtre
Nous nous sommes écrit des lettres enflammées
Nos mots étaient si fous nos envies si osées
Qu'ils ne suffisaient plus à assouvir nos coeurs
J'ai fait le plein des sens pour venir jusqu'à vous
Vivaldi résonnait dans tous mes haut-parleurs
La route était si belle à vous savoir au bout.
Moïse Wolff
Texte modifié
Le 10/11/2020
Tous droits réservés
