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Claire Vassé à Claude Miller :
« Je t’ai aimé au-delà de tous mes principes, j’ai aimé l’endroit du monde où notre lien nous a entraînés. Un monde au-delà des conventions sociales et familiales. »
(extrait à partir de toi)
**********
J’ai essuyé les pleurs d’un revers de la main,
J’ai ouvert mon cœur au petit matin,
Rangé la douleur dans un vieil écrin,
Et jeté la rancœur au fond d’un ravin.
Un pas devant l’autre, j’ai atteint la gare,
Déversant sur son quai, tous mes déboires,
Puis j’ai pris ce train, destination inconnue,
Je ne pouvais plus attendre au coin de la rue.
Que tu te décides à m’aimer un peu,
À un devenir aux louanges heureuses,
Me voilà bien loin de toi maintenant,
Je ne vis plus comme un chien errant.
Jamais je n’aurais pensé,
Pouvoir un jour, aussi fort aimé,
Mon âme à jamais reliée
À ton être, tout entier.
Est-ce que c’est ça l’amour,
Savoir laisser l’autre partir ?
Savoir partir à l’heure,
Avant que l’aube n’écœure ?
Et je regarde défiler le paysage,
M'emportant à mille lieux de toi...
Peut-être qu’un jour,
Je comprendrai pourquoi,
Mon cœur n’a aimé que toi...
Mon Roi
« Je t’ai aimé au-delà de tous mes principes, j’ai aimé l’endroit du monde où notre lien nous a entraînés. Un monde au-delà des conventions sociales et familiales. »
(extrait à partir de toi)
**********
J’ai essuyé les pleurs d’un revers de la main,
J’ai ouvert mon cœur au petit matin,
Rangé la douleur dans un vieil écrin,
Et jeté la rancœur au fond d’un ravin.
Un pas devant l’autre, j’ai atteint la gare,
Déversant sur son quai, tous mes déboires,
Puis j’ai pris ce train, destination inconnue,
Je ne pouvais plus attendre au coin de la rue.
Que tu te décides à m’aimer un peu,
À un devenir aux louanges heureuses,
Me voilà bien loin de toi maintenant,
Je ne vis plus comme un chien errant.
Jamais je n’aurais pensé,
Pouvoir un jour, aussi fort aimé,
Mon âme à jamais reliée
À ton être, tout entier.
Est-ce que c’est ça l’amour,
Savoir laisser l’autre partir ?
Savoir partir à l’heure,
Avant que l’aube n’écœure ?
Et je regarde défiler le paysage,
M'emportant à mille lieux de toi...
Peut-être qu’un jour,
Je comprendrai pourquoi,
Mon cœur n’a aimé que toi...
Mon Roi