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Hors ligne
Sonnets du miracle de l‘an neuf
Un certain janvier un peu terne
On attendait une politique
Qui soit aux français sympathique
Sans que de discours on les berne
On attendait une politique
Qui soit aux français sympathique
Sans que de discours on les berne
D’habituelles balivernes
Proférées par des hystériques
Figèrent toute dynamique
Querellant anciens et modernes
Proférées par des hystériques
Figèrent toute dynamique
Querellant anciens et modernes
Alors par un divin hasard
Devinrent muets les bavards
Et l’on garda les compétences
Devinrent muets les bavards
Et l’on garda les compétences
Fort peu restèrent en présence
Voulant prendre nouveau départ
Pour aider le peuple de France
Voulant prendre nouveau départ
Pour aider le peuple de France
Les hâbleries étant exclues
On se dispensa des gueulards
Qui n’avaient pas le moindre égard
Pour un futur moins farfelu
Et le mélange des élus
Appauvris de tous ses nullards
Put enfin donner juste part
Au redressement attendu .
Appauvris de tous ses nullards
Put enfin donner juste part
Au redressement attendu .
Les inutiles étant coûteux
Les assemblées furent rétrécies
Notre pays s’en porta mieux
Les assemblées furent rétrécies
Notre pays s’en porta mieux
Le peuple ayant moins de soucis
Vit disparaître les maffieux
Nuisant à la démocratie.
Vit disparaître les maffieux
Nuisant à la démocratie.
