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Souvenirs de séjours linguistiques
Langue de soie bouche velours
Vous m’enseignâtes my dear Mary
Les préalables de l’amour
À Londres en venant de Paris
Je n’étais pas un ignorant
Mais en voyage linguistique
Je devins presque doctorant
Dévoué au feu britannique
J’avais assez peu de culture
Votre époux voyageait beaucoup
Vous dévoilâtes à ma nature
De la luxure les dessous.
Devant apprendre en Albion
La langue et son vocabulaire
Vous montrâtes une passion
Poussant ma jeunesse à vous plaire
Dear Mary vous étiez exquise
Et vous saviez prendre le temps
D’initier mes gourmandises
À votre dévouement constant
Je découvris vos préférences
Guidé par vos précieux conseils
Je m’approchais de l’excellence
Mais perdis du temps de sommeil
Ainsi je somnolais aux cours
Où j’aurais dû être attentif
Langue de soie bouche velours
C’est la nuit que j’étais actif
Lors votre époux s’en revenant
Je pus reprendre mes études
Et l’anglais en me surmenant
Devint instructif interlude
Hélas une amie de Mary
Ayant eut vent de mes savoirs
Imagina des scenarii
Où je dus montrer mes pouvoirs
Le thé n’étant qu’un beau prétexte
Je fus invité fréquemment
À disserter des joies du sexe
En anglais bien évidemment
Brenda qui aimait les longueurs
Exigeait plus de retenue
Et maintenait par la douceur
Une assiduité soutenue
Langue de soie bouche velours
Ayant des réciprocités
Elle hâtait souvent le retour
D’une active lubricité
My dear Brenda s’aidait parfois
De quelques dessins historiques
Où quelques ladies d’autrefois
Incitaient aux jeux érotiques
L’ouvrage aux subtiles gravures
N’avait rien de particulier
Car trompeuse sa couverture
Faisait penser à un herbier.
Et quelques poses imaginaires
Révélaient des perplexités
Que nous n’osâmes jamais faire
Renonçant aux difficultés
Je complétais donc ma culture
Qui en fait était identique
Aux différentes aventures
Dont Mary aima la pratique
Mais différentes préférences
De l’une et l’autre me montrèrent
Que changer façons et cadences
Est une clé pour satisfaire.
Selon l’incendie décelable
Il faut adapter l’action
Brièveté peut être aimable
Si intense est l’addiction
Mary devenue plutôt diurne
Aima la verticalité
Brenda goûtant les feux nocturnes
Aimait la lente assiduité
Bref l’Angleterre c’est épuisant
Mais j’étais un peu polyglotte
Au retour c’était suffisant
Pour donner des cours à Charlotte
Qui jeune voisine peu sage
Exploita vite mes talents
Car en Albion mon doux voyage
M’avait rendu polyvalent
Elle apprit donc le britannique
Nécessaire à ses examens
Et les séquences érotiques
Qui du plaisir sont les chemins.
Elle aima le thé à cinq heures
Précédé de jeux agréables
Mary, Brenda, pour mon bonheur
en avaient fait les préalables
Je ne serai jamais ingrat
Pour la couronne d’ Angleterre
J’ai des sentiments délicats
Pour ses cours extraordinaires
Et sans disserter davantage
Des dames qui me firent l’honneur
De m’accorder de doux partages
À Albion je dois maints bonheurs.
Langue de soie bouche velours
Vous m’enseignâtes my dear Mary
Les préalables de l’amour
À Londres en venant de Paris
Je n’étais pas un ignorant
Mais en voyage linguistique
Je devins presque doctorant
Dévoué au feu britannique
J’avais assez peu de culture
Votre époux voyageait beaucoup
Vous dévoilâtes à ma nature
De la luxure les dessous.
Devant apprendre en Albion
La langue et son vocabulaire
Vous montrâtes une passion
Poussant ma jeunesse à vous plaire
Dear Mary vous étiez exquise
Et vous saviez prendre le temps
D’initier mes gourmandises
À votre dévouement constant
Je découvris vos préférences
Guidé par vos précieux conseils
Je m’approchais de l’excellence
Mais perdis du temps de sommeil
Ainsi je somnolais aux cours
Où j’aurais dû être attentif
Langue de soie bouche velours
C’est la nuit que j’étais actif
Lors votre époux s’en revenant
Je pus reprendre mes études
Et l’anglais en me surmenant
Devint instructif interlude
Hélas une amie de Mary
Ayant eut vent de mes savoirs
Imagina des scenarii
Où je dus montrer mes pouvoirs
Le thé n’étant qu’un beau prétexte
Je fus invité fréquemment
À disserter des joies du sexe
En anglais bien évidemment
Brenda qui aimait les longueurs
Exigeait plus de retenue
Et maintenait par la douceur
Une assiduité soutenue
Langue de soie bouche velours
Ayant des réciprocités
Elle hâtait souvent le retour
D’une active lubricité
My dear Brenda s’aidait parfois
De quelques dessins historiques
Où quelques ladies d’autrefois
Incitaient aux jeux érotiques
L’ouvrage aux subtiles gravures
N’avait rien de particulier
Car trompeuse sa couverture
Faisait penser à un herbier.
Et quelques poses imaginaires
Révélaient des perplexités
Que nous n’osâmes jamais faire
Renonçant aux difficultés
Je complétais donc ma culture
Qui en fait était identique
Aux différentes aventures
Dont Mary aima la pratique
Mais différentes préférences
De l’une et l’autre me montrèrent
Que changer façons et cadences
Est une clé pour satisfaire.
Selon l’incendie décelable
Il faut adapter l’action
Brièveté peut être aimable
Si intense est l’addiction
Mary devenue plutôt diurne
Aima la verticalité
Brenda goûtant les feux nocturnes
Aimait la lente assiduité
Bref l’Angleterre c’est épuisant
Mais j’étais un peu polyglotte
Au retour c’était suffisant
Pour donner des cours à Charlotte
Qui jeune voisine peu sage
Exploita vite mes talents
Car en Albion mon doux voyage
M’avait rendu polyvalent
Elle apprit donc le britannique
Nécessaire à ses examens
Et les séquences érotiques
Qui du plaisir sont les chemins.
Elle aima le thé à cinq heures
Précédé de jeux agréables
Mary, Brenda, pour mon bonheur
en avaient fait les préalables
Je ne serai jamais ingrat
Pour la couronne d’ Angleterre
J’ai des sentiments délicats
Pour ses cours extraordinaires
Et sans disserter davantage
Des dames qui me firent l’honneur
De m’accorder de doux partages
À Albion je dois maints bonheurs.