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Stances contemporaines
(Veuillez m’en excuser Malherbe que j’admire
l’occasion était telle qu’il me fallait écrire)
Ta douleur mon pays , sera donc éternelle
Et les nouvelles du jour
Qui touchent soudainement la vie présidentielle
Te jouent un sale tour.
La Covid au sommet est ainsi parvenue
Virus indélicat
Elle s’est dans l’ Élysée incidemment perdue
Et cause du tracas
Je sais bien qu’à la cour par pure prévention
Ne pouvait être admis,
L’injurieux virus sa malédiction,
N’inspirant que mépris .
On aura beau dresser politique barrière
le couronné têtu
Pourra quand il le veut faire une carrière ,
sans même être aperçu
Non, non, cher président vous êtes dans la barque
Où fragile est le corps ,
Que l’on soit prolétaire ou que l’on soit énarque
jamais virus a tort.
Ne nous lassez donc pas d’inutiles complaintes :
Subissez sans gémir
Les télés les radios seront loin d’être éteintes
Tant qu’elles pourront mentir
Car c’est, la chose est sure , une juste coutume
que devoir s’affliger,
des médias perroquets ces prêcheurs d’amertume,
sachant désobliger.
Mais d'être inconsolable et de garder mémoire
De ce viral ennui ,
N’étant pas une opprobre n’apportant pas la gloire
Ne soigne pas autrui ?
La saine prévention en des temps opportuns
Aurait elle évité
La vague pernicieuse au final incertain ?
Qui sait la vérité?
Le peuple en son logis , où la sécu le couvre,
Est sujet à des lois ;
"Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend point nos rois."
Oser s’en offusquer et perdre patience
Serait hors de propos ;
"Vouloir ce que Dieu veut est la seule science
Qui nous met en repos."
(Veuillez m’en excuser Malherbe que j’admire
l’occasion était telle qu’il me fallait écrire)
Ta douleur mon pays , sera donc éternelle
Et les nouvelles du jour
Qui touchent soudainement la vie présidentielle
Te jouent un sale tour.
La Covid au sommet est ainsi parvenue
Virus indélicat
Elle s’est dans l’ Élysée incidemment perdue
Et cause du tracas
Je sais bien qu’à la cour par pure prévention
Ne pouvait être admis,
L’injurieux virus sa malédiction,
N’inspirant que mépris .
On aura beau dresser politique barrière
le couronné têtu
Pourra quand il le veut faire une carrière ,
sans même être aperçu
Non, non, cher président vous êtes dans la barque
Où fragile est le corps ,
Que l’on soit prolétaire ou que l’on soit énarque
jamais virus a tort.
Ne nous lassez donc pas d’inutiles complaintes :
Subissez sans gémir
Les télés les radios seront loin d’être éteintes
Tant qu’elles pourront mentir
Car c’est, la chose est sure , une juste coutume
que devoir s’affliger,
des médias perroquets ces prêcheurs d’amertume,
sachant désobliger.
Mais d'être inconsolable et de garder mémoire
De ce viral ennui ,
N’étant pas une opprobre n’apportant pas la gloire
Ne soigne pas autrui ?
La saine prévention en des temps opportuns
Aurait elle évité
La vague pernicieuse au final incertain ?
Qui sait la vérité?
Le peuple en son logis , où la sécu le couvre,
Est sujet à des lois ;
"Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend point nos rois."
Oser s’en offusquer et perdre patience
Serait hors de propos ;
"Vouloir ce que Dieu veut est la seule science
Qui nous met en repos."