Hors ligne
Toi, poète
Au couloir des mots, la poussière en l’œil s'est levée
et pleure le poète en la chambre désolée.
Dans le regard, saigne une fleur,
mais il y a tout ce temps, qui fait si bien.
La liberté cesse-t-elle
de déployer ses ailes?
Poète, amant de beauté,
entends-tu l'écho de là-bas,
ton chant de cœur,
si pur, si doux?
Pourtant tu le vois,
la joie est si belle...
Va.
Reprends vite le large;
remets tes yeux en forme de cœur,
refais-toi capitaine, et vive la mer;
droit devant, les plus beaux souvenirs...
Poète, je t'aime,
ta plume et ton cœur ont des ailes et tu parles de l'homme,
car encore ici, tu aimes...
Alors viens, écoute le grand secret :
« Du ciel, ton regard est d'étoile,
et de l'infini, tes yeux sont mes yeux... »
Au couloir des mots, la poussière en l’œil s'est levée
et pleure le poète en la chambre désolée.
Dans le regard, saigne une fleur,
mais il y a tout ce temps, qui fait si bien.
La liberté cesse-t-elle
de déployer ses ailes?
Poète, amant de beauté,
entends-tu l'écho de là-bas,
ton chant de cœur,
si pur, si doux?
Pourtant tu le vois,
la joie est si belle...
Va.
Reprends vite le large;
remets tes yeux en forme de cœur,
refais-toi capitaine, et vive la mer;
droit devant, les plus beaux souvenirs...
Poète, je t'aime,
ta plume et ton cœur ont des ailes et tu parles de l'homme,
car encore ici, tu aimes...
Alors viens, écoute le grand secret :
« Du ciel, ton regard est d'étoile,
et de l'infini, tes yeux sont mes yeux... »
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