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Jeu d'écriture de juin, proposé dans un groupe :
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En un ou deux quatrain(s), commencer par " Tu vois, je suis venu " et finir le/les quatrains par " cet été-là. "
Tu vois, je suis venu voter ce matin-là,
Il était encor tôt, je n'ai pas eu d'attente,
Choisir entre trois blocs d'une main innocente,
J'ai perdu tout espoir depuis cet été-là.
(25 juin 2024)
*****
Tu vois, je suis venu mettre mon cœur à nu,
Par un joli poème où l'amour se déclame.
Il n'est pas de poète au Verbe retenu,
Dont l'amour n'inspira nullement son calame.
Rappelle-toi d'août, nous deux dans la piscine,
Ta peau contre ma peau ne me dérangeait pas.
J'ai compris ce jour-là, chez toi tout me fascine,
Je suis dingue de toi depuis cet été-là.
(20 juin 2024)
*****
Tu vois, je suis venu t'écrire un billet doux,
Amoureux tout ce temps de toi dans le silence,
J'ai rêvé si souvent de nous dans l'opulence
D'un amour partagé venu je ne sais d'où…
J'ai mûri de trente ans et l'âme encore verte,
Je peux t'apporter l'or destiné au fellah,
Ouvre-moi ta porte ou laisse-là entrouverte,
Oh je t'ai dans la peau depuis cet été-là.
(09 juin 2024)
*****
Tu vois, je suis venu, porté par le hasard,
A t'écrire un poème au doux parfum de roses,
Inspiré par les vers du poète Ronsard,
Je me sens attiré, par toi, en toutes choses.
Ce procédé pourrait te sembler bien ringard,
Je n'ai pas oublié nos baisers de gala.
Le mystère azuré de ton joli regard,
M'obsède jour et nuit depuis cet été là.
(08 juin 2024)
*****
Tu vois, je suis venu de loin et je t'ai vu,
Ô ma belle inconnue aux yeux verts que voilà,
Regard à livre ouvert, merveilleux imprévu,
Mon cœur a découvert l'amour cet été là.
(06 juin 2024)
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En un ou deux quatrain(s), commencer par " Tu vois, je suis venu " et finir le/les quatrains par " cet été-là. "
Tu vois, je suis venu voter ce matin-là,
Il était encor tôt, je n'ai pas eu d'attente,
Choisir entre trois blocs d'une main innocente,
J'ai perdu tout espoir depuis cet été-là.
(25 juin 2024)
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Tu vois, je suis venu mettre mon cœur à nu,
Par un joli poème où l'amour se déclame.
Il n'est pas de poète au Verbe retenu,
Dont l'amour n'inspira nullement son calame.
Rappelle-toi d'août, nous deux dans la piscine,
Ta peau contre ma peau ne me dérangeait pas.
J'ai compris ce jour-là, chez toi tout me fascine,
Je suis dingue de toi depuis cet été-là.
(20 juin 2024)
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Tu vois, je suis venu t'écrire un billet doux,
Amoureux tout ce temps de toi dans le silence,
J'ai rêvé si souvent de nous dans l'opulence
D'un amour partagé venu je ne sais d'où…
J'ai mûri de trente ans et l'âme encore verte,
Je peux t'apporter l'or destiné au fellah,
Ouvre-moi ta porte ou laisse-là entrouverte,
Oh je t'ai dans la peau depuis cet été-là.
(09 juin 2024)
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Tu vois, je suis venu, porté par le hasard,
A t'écrire un poème au doux parfum de roses,
Inspiré par les vers du poète Ronsard,
Je me sens attiré, par toi, en toutes choses.
Ce procédé pourrait te sembler bien ringard,
Je n'ai pas oublié nos baisers de gala.
Le mystère azuré de ton joli regard,
M'obsède jour et nuit depuis cet été là.
(08 juin 2024)
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Tu vois, je suis venu de loin et je t'ai vu,
Ô ma belle inconnue aux yeux verts que voilà,
Regard à livre ouvert, merveilleux imprévu,
Mon cœur a découvert l'amour cet été là.
(06 juin 2024)