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- SIX-FOURS LES PLAGES
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….
« Charles Aznavour »chante en sourdine à la radio
La maison semble endormie, presque inhabitée
Je suis sur mon ordi, à composer avec des mots,
Des phrases, des vers s’accordant à mes pensées !
Fenêtres grandes ouvertes ,j’entends les oiseaux
Qui pépient dans le jardin, sautillent dans l’olivier
Grappillant vers insectes ,entre deux trémolos,
Il s’ébrouent ,vifs ….finissent par s’envoler…
A la cuisine , plus personne ne chantonne
Le chef a abandonner ses casseroles,
Je n’entends plus de blagues polissonnes
Le silence de l’absence me déboussole !
La salle de bains n’embaume plus « kouros »
Rasoir et brosse a dents sont silencieux
Les serviettes de toilette sont au repos
Et moi j’ai perdu mon amoureux !
Dans chaque chambre, résonne encore
Les rires de bonheur et de tendresse
Il me semble, entendre ta voix de ténor
Et voir briller tes yeux d’allégresse
Comme il a été bon ce temps
Ou nous étions tous les deux
Je voudrai croire simplement
Que ce n’était pas un adieu !
La nuit est tombée doucement
Une bougie flambe chez nous
Me laisse croire que tu es là…..
Pour survivre, j’ai besoin de ça !
G.PERRIN
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« Charles Aznavour »chante en sourdine à la radio
La maison semble endormie, presque inhabitée
Je suis sur mon ordi, à composer avec des mots,
Des phrases, des vers s’accordant à mes pensées !
Fenêtres grandes ouvertes ,j’entends les oiseaux
Qui pépient dans le jardin, sautillent dans l’olivier
Grappillant vers insectes ,entre deux trémolos,
Il s’ébrouent ,vifs ….finissent par s’envoler…
A la cuisine , plus personne ne chantonne
Le chef a abandonner ses casseroles,
Je n’entends plus de blagues polissonnes
Le silence de l’absence me déboussole !
La salle de bains n’embaume plus « kouros »
Rasoir et brosse a dents sont silencieux
Les serviettes de toilette sont au repos
Et moi j’ai perdu mon amoureux !
Dans chaque chambre, résonne encore
Les rires de bonheur et de tendresse
Il me semble, entendre ta voix de ténor
Et voir briller tes yeux d’allégresse
Comme il a été bon ce temps
Ou nous étions tous les deux
Je voudrai croire simplement
Que ce n’était pas un adieu !
La nuit est tombée doucement
Une bougie flambe chez nous
Me laisse croire que tu es là…..
Pour survivre, j’ai besoin de ça !
G.PERRIN

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