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A bord d’une fusée à l’aspect insolite
Qui ressemblait beaucoup à une multitude
Lorsque j’ondoyais sur les hautes altitudes
D’étoiles esquissant mon fier aérolite
Afin de me conduire au creux de sa pléiade
Vers un monde inconnu dépourvu de dangers.
Je pouvais observer sous un œil étranger
Ces nouveaux continents formant une accolade
D’alcanes réunis afin de me diaprer
D’une constellation aux lueurs boréales
Par une robe bleue aux teintes abyssales
De comètes ornant de leur blanc séculaire
Tout ce biotope astral inaugurant mon corps.
Plus j’avançais au sein de cette suave amphore
Plus ce panorama me montrait ses éclairs
En me les divulguant les uns après les autres
Souhaitant me dévoiler son effarant secret
Il avait manœuvré ces laiteux angelets
De façon pondérée guider par ses apôtres.
Il voulait que ses rats aux branches pigmentées
De tendres prosodies baptisant les fidèles
Allient leur opérette en un bal d’étincelles
Afin d’émerveiller lors de ces soirs gelés
Nos yeux énamourés qui regardent la voûte
Pour happer nos esprits dans cette mer occulte
Perlant de féérie nos émotifs tumultes.
Nous voguons chaque nuit dans ce flot qui déroute
Où opère le charme en cette symphonie
D’instruments s’afférant à réchauffer les cœurs
Sous ces divers refrains qui gâtent les langueurs
Rythmant au quotidien toute l’allégorie
De cette réception où nos papilles pulsent
A vouloir entonner ces partitions d’enfance.
Cette fête rassemble en un banc d’insouciance
Car naturellement nos racines s’expulsent
En faisant ressortir le poupon qu’est en nous
Pour ces instants de paix affublant d’euphonie
Un mariage d’odeurs d’un bouquet d’euphorie
Où les fumets moirés s’accouplent sous le joug
De ce dôme nuptial par ces exhalaisons
De vapeurs expédiant ces savoureux relents.
Alors pour nous gracier de nos pêchers blâmant
Il nous offre à Noël une illustre oraison
Un tableau parsemer d’une poudre étoilée
Afin que se dessine un firmament verdi
D’une fresque exposant un site converti
Qui divulgue une crèche sous un bois satiné
D’un apprêt colombin par ces perles lustrées.
Nous restons subjugués par ce présent du ciel
Qui nous crée chaque année ce chant sempiternelle
Pour nous récompenser de bien vouloir parer
Nos maisons de pensées purifiant notre éther
En imprégnant autrui de vertus catholiques
Afin de redorer l’essence périodique
De ce gala païen en vers humanitaire.
Oiseau Lyre.
Qui ressemblait beaucoup à une multitude
Lorsque j’ondoyais sur les hautes altitudes
D’étoiles esquissant mon fier aérolite
Afin de me conduire au creux de sa pléiade
Vers un monde inconnu dépourvu de dangers.
Je pouvais observer sous un œil étranger
Ces nouveaux continents formant une accolade
D’alcanes réunis afin de me diaprer
D’une constellation aux lueurs boréales
Par une robe bleue aux teintes abyssales
De comètes ornant de leur blanc séculaire
Tout ce biotope astral inaugurant mon corps.
Plus j’avançais au sein de cette suave amphore
Plus ce panorama me montrait ses éclairs
En me les divulguant les uns après les autres
Souhaitant me dévoiler son effarant secret
Il avait manœuvré ces laiteux angelets
De façon pondérée guider par ses apôtres.
Il voulait que ses rats aux branches pigmentées
De tendres prosodies baptisant les fidèles
Allient leur opérette en un bal d’étincelles
Afin d’émerveiller lors de ces soirs gelés
Nos yeux énamourés qui regardent la voûte
Pour happer nos esprits dans cette mer occulte
Perlant de féérie nos émotifs tumultes.
Nous voguons chaque nuit dans ce flot qui déroute
Où opère le charme en cette symphonie
D’instruments s’afférant à réchauffer les cœurs
Sous ces divers refrains qui gâtent les langueurs
Rythmant au quotidien toute l’allégorie
De cette réception où nos papilles pulsent
A vouloir entonner ces partitions d’enfance.
Cette fête rassemble en un banc d’insouciance
Car naturellement nos racines s’expulsent
En faisant ressortir le poupon qu’est en nous
Pour ces instants de paix affublant d’euphonie
Un mariage d’odeurs d’un bouquet d’euphorie
Où les fumets moirés s’accouplent sous le joug
De ce dôme nuptial par ces exhalaisons
De vapeurs expédiant ces savoureux relents.
Alors pour nous gracier de nos pêchers blâmant
Il nous offre à Noël une illustre oraison
Un tableau parsemer d’une poudre étoilée
Afin que se dessine un firmament verdi
D’une fresque exposant un site converti
Qui divulgue une crèche sous un bois satiné
D’un apprêt colombin par ces perles lustrées.
Nous restons subjugués par ce présent du ciel
Qui nous crée chaque année ce chant sempiternelle
Pour nous récompenser de bien vouloir parer
Nos maisons de pensées purifiant notre éther
En imprégnant autrui de vertus catholiques
Afin de redorer l’essence périodique
De ce gala païen en vers humanitaire.
Oiseau Lyre.
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