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UN CRUEL SOUVENIR
Je repense à ce jour où chez moi tu parvins,
Dans tes plus beaux atours aux courbes féminines,
A raviver l'amour d'un brasier qui culmine
Juste en haut de ma tour, par des baisers divins...
Nous avons fait l'amour et tes yeux azurins,
M'inspirèrent toujours des voluptés taquines,
Aux positions dès lors plus folles que coquines,
Où fusaient nos deux corps sans voile ni marin...
Et puis tu es partie rejoindre ta famille,
Retrouvant avec lui, tapie sur la charmille,
Une vie raisonnée pour fonder un foyer...
Moi, je me découvris, penaud et imbécile,
A l'amour de ma vie qui trouvât inutile,
De me faire payer le mal que lui ait fait.
01 novembre 2019
Je repense à ce jour où chez moi tu parvins,
Dans tes plus beaux atours aux courbes féminines,
A raviver l'amour d'un brasier qui culmine
Juste en haut de ma tour, par des baisers divins...
Nous avons fait l'amour et tes yeux azurins,
M'inspirèrent toujours des voluptés taquines,
Aux positions dès lors plus folles que coquines,
Où fusaient nos deux corps sans voile ni marin...
Et puis tu es partie rejoindre ta famille,
Retrouvant avec lui, tapie sur la charmille,
Une vie raisonnée pour fonder un foyer...
Moi, je me découvris, penaud et imbécile,
A l'amour de ma vie qui trouvât inutile,
De me faire payer le mal que lui ait fait.
01 novembre 2019