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Une enivrante balade
Dans ces notes salées je me suis endormie
Aux côtés d'une hermine où sa blancheur nacrée
M'a redoré d'espoir dans son doux paradis
Son ruisselant cocon où l'émoi est la clé.
Pour ouvrir son âme et y trouver le bonheur
Jour après jour tant que demeureront nos vies
Rythmées par les battant tempos de notre cœur
Et s'offrir, à jamais, un envol d'utopie.
Humide, je le deviens depuis notre élégie
Et j'espère aussi être à la hauteur, mon cher
Et vénérable Orphée, gardien de mes envies
Qui, sous sa lyre, m'alloue, de ses plus doux bréviaires.
De grenouille, je passe à un félidé aimant
Plus que tout, pour toujours, les notes de sa vielle
Aux teintes de la paix, raisonnant, en tout temps
Dans mon être, en un hymne, d'un amour éternel.
Ma colombe, ta plume est le sceau de mon phrasé
Tes rondeaux, les slams qui émoustillent mes sens
Pour créer sous tes yeux aux embruns étoilés
Le reflet cimentant mes plus pures créances.
J'ai découvert en toi un ru inépuisable
Qui répond chaque jour, à mes plus fous espoirs
Et qui étoffe tant l'envie insatiable
De croquer toujours plus le tison de nos moires.
Notre roman d'amour est loin d'être fini
Je mets un point d'honneur à ce qu'il s'éternise
Vibrant et enivrant faisant de mes écrits
L'illuminante orgie du style que je prise.
J'ai toujours recherché l'illumination
La verve dépeignant parfaitement mon être
Et c'est en écoutant tes si tendres chansons
Que son esprit a pu, si tôt, en moi, renaître.
Je te promets que nos lueurs perdureront
Malgré les aléas, le stress, et les soucis
Le futur devenant bien moins une prison
Dès lors que l'on déniche un aussi bon parti.
Malgré sa dureté, la vie, sous ses arpèges
En un bel horizon, plus chaud et prometteur
M'a conféré les clés du plus beau privilège :
Pouvoir passer sa vie aux côtés de son cœur.
Indigne, je serai donc, de ne pas la saisir
Cette chance que tu m'as offerte, tel de l’or
Ne pouvant mériter un si bel élixir
Qui octroie, à mon être, le plus beau des trésors.
J’aspire à ce que cette harmonieuse histoire
Advienne à devenir l’aubade de mon âme
Réconfort précieux conférant de l’espoir
A mes nuits sombres par sa bienveillante flamme.
Oiseau Lyre.
Dans ces notes salées je me suis endormie
Aux côtés d'une hermine où sa blancheur nacrée
M'a redoré d'espoir dans son doux paradis
Son ruisselant cocon où l'émoi est la clé.
Pour ouvrir son âme et y trouver le bonheur
Jour après jour tant que demeureront nos vies
Rythmées par les battant tempos de notre cœur
Et s'offrir, à jamais, un envol d'utopie.
Humide, je le deviens depuis notre élégie
Et j'espère aussi être à la hauteur, mon cher
Et vénérable Orphée, gardien de mes envies
Qui, sous sa lyre, m'alloue, de ses plus doux bréviaires.
De grenouille, je passe à un félidé aimant
Plus que tout, pour toujours, les notes de sa vielle
Aux teintes de la paix, raisonnant, en tout temps
Dans mon être, en un hymne, d'un amour éternel.
Ma colombe, ta plume est le sceau de mon phrasé
Tes rondeaux, les slams qui émoustillent mes sens
Pour créer sous tes yeux aux embruns étoilés
Le reflet cimentant mes plus pures créances.
J'ai découvert en toi un ru inépuisable
Qui répond chaque jour, à mes plus fous espoirs
Et qui étoffe tant l'envie insatiable
De croquer toujours plus le tison de nos moires.
Notre roman d'amour est loin d'être fini
Je mets un point d'honneur à ce qu'il s'éternise
Vibrant et enivrant faisant de mes écrits
L'illuminante orgie du style que je prise.
J'ai toujours recherché l'illumination
La verve dépeignant parfaitement mon être
Et c'est en écoutant tes si tendres chansons
Que son esprit a pu, si tôt, en moi, renaître.
Je te promets que nos lueurs perdureront
Malgré les aléas, le stress, et les soucis
Le futur devenant bien moins une prison
Dès lors que l'on déniche un aussi bon parti.
Malgré sa dureté, la vie, sous ses arpèges
En un bel horizon, plus chaud et prometteur
M'a conféré les clés du plus beau privilège :
Pouvoir passer sa vie aux côtés de son cœur.
Indigne, je serai donc, de ne pas la saisir
Cette chance que tu m'as offerte, tel de l’or
Ne pouvant mériter un si bel élixir
Qui octroie, à mon être, le plus beau des trésors.
J’aspire à ce que cette harmonieuse histoire
Advienne à devenir l’aubade de mon âme
Réconfort précieux conférant de l’espoir
A mes nuits sombres par sa bienveillante flamme.
Oiseau Lyre.
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