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Au abord du printemps, psalmodie, en silence
Un ballet amoureux de charmantes colombes
Qui annoncent gaiement au creux de cette combe
Une paix irisée en cette renaissance.
Cette ode énamourée déferle sa beauté
Pour honorer comme il se doit dame nature
Pour qu’en littérature, cette douce peinture
Offre un lyrique essor dans ses rimes métrées.
Afin que perle en cet arôme parfumé
Joliment nos ébats au rythme de nos cœurs
Pour offrir à nos maux un sentiment rêveur
En cet album où tend nos joies à résider.
Afin de transformer nos lacrymaux instants
En des tons de bonheurs bercés par la douceur
Embellie des sens que nous alloue les couleurs
Du pinceau de Gaïa portées au gré du vent.
Pour que de cette aubade amoureuse et sincère
Demeure un doux moment infiniment prospère
Et que de nos hivers sinistrement amers
Luisent de doux printemps en son ramage vert.
Pour que de cet espoir renaisse notre amour
En cette transhumance où nos pensées moroses
Se meurent pour qu’éclose une candide rose
Où luira, sous ces chants, ce refrain de toujours.
En notre insouciance, bercée par l’aria
De ces flopées d’oiseaux qui d’un battement d’aile
Octroient sous leur chant de bien belles étincelles
Pour calmer nos malheurs de leur tendre apparat.
J’aspire à m’imprégner de ces doux sirocos
Pour toujours m’irriguer du plus beau des cadeaux
Et faire de chaque an un renouveau plus beau
Chaque printemps roffrant un verdoyant berceau.
Bien plus beau, enrichi, par cette pullulante
Floraison ou arbore un monceau d’animaux
Qui font de ces moments un bienveillant tempo
Nous imprégnant de son âme luminescente.
Afin de nous offrir des moments éclairés
Lovés dans la ferveur d’un chaleureux baiser
Pour imprégner nos cœur d’un bien-être princier
Dans cette nitescence au goût de liberté.
Voilà comment l’espoir, et la beauté du monde
Emergent de ces sols lénitifs et brillant
Faisant, de chaque année, le plus beau des onguents
Pour calmer nos maux dans cette florale ronde.
Pour que cet opéra, chaque saison, reluise
Et fasse de nos vie un meilleur avenir
En inhibant nos pleurs au profit de sourires
Dans les bras rassurant de Gaïa sous sa bise.
Oiseau Lyre.
Un ballet amoureux de charmantes colombes
Qui annoncent gaiement au creux de cette combe
Une paix irisée en cette renaissance.
Cette ode énamourée déferle sa beauté
Pour honorer comme il se doit dame nature
Pour qu’en littérature, cette douce peinture
Offre un lyrique essor dans ses rimes métrées.
Afin que perle en cet arôme parfumé
Joliment nos ébats au rythme de nos cœurs
Pour offrir à nos maux un sentiment rêveur
En cet album où tend nos joies à résider.
Afin de transformer nos lacrymaux instants
En des tons de bonheurs bercés par la douceur
Embellie des sens que nous alloue les couleurs
Du pinceau de Gaïa portées au gré du vent.
Pour que de cette aubade amoureuse et sincère
Demeure un doux moment infiniment prospère
Et que de nos hivers sinistrement amers
Luisent de doux printemps en son ramage vert.
Pour que de cet espoir renaisse notre amour
En cette transhumance où nos pensées moroses
Se meurent pour qu’éclose une candide rose
Où luira, sous ces chants, ce refrain de toujours.
En notre insouciance, bercée par l’aria
De ces flopées d’oiseaux qui d’un battement d’aile
Octroient sous leur chant de bien belles étincelles
Pour calmer nos malheurs de leur tendre apparat.
J’aspire à m’imprégner de ces doux sirocos
Pour toujours m’irriguer du plus beau des cadeaux
Et faire de chaque an un renouveau plus beau
Chaque printemps roffrant un verdoyant berceau.
Bien plus beau, enrichi, par cette pullulante
Floraison ou arbore un monceau d’animaux
Qui font de ces moments un bienveillant tempo
Nous imprégnant de son âme luminescente.
Afin de nous offrir des moments éclairés
Lovés dans la ferveur d’un chaleureux baiser
Pour imprégner nos cœur d’un bien-être princier
Dans cette nitescence au goût de liberté.
Voilà comment l’espoir, et la beauté du monde
Emergent de ces sols lénitifs et brillant
Faisant, de chaque année, le plus beau des onguents
Pour calmer nos maux dans cette florale ronde.
Pour que cet opéra, chaque saison, reluise
Et fasse de nos vie un meilleur avenir
En inhibant nos pleurs au profit de sourires
Dans les bras rassurant de Gaïa sous sa bise.
Oiseau Lyre.