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Face à mes souffrances
J’ai enfin pris conscience
Que, doucement et sans bruit
Je peux caresser ma vie
Je perçois à travers mes écrits
Des silences bien cachés
Qu’aujourd’hui j’ose écouter
Malgré les moments gris
Je ne pense plus à l’impossible
J’ai compris qu’avec le temps
Etre libre est plus tolérable
Même en vieillissant
Vous qui me lisez en ce moment
Pour le plaisir des mots et maux
Vous m’avez inspiré si souvent
Les plus doux sentiments
Vous qui devinez entre mes lignes
Des peines que je ne conte pas
Vous, qui souvent j’imagine
Mais, que je ne connais pas
Merci à vous d’être mes ami(e)s
De mettre de la douceur sur ma vie
La tendresse déposée sur mon chemin
Que j’en avais tellement besoin
J’ai essuyé toutes mes larmes
J’ai baissé toutes les armes
Je vois enfin la beauté du jour
et je ne crains plus l’amour
©Fouzia El Mellah
J’ai enfin pris conscience
Que, doucement et sans bruit
Je peux caresser ma vie
Je perçois à travers mes écrits
Des silences bien cachés
Qu’aujourd’hui j’ose écouter
Malgré les moments gris
Je ne pense plus à l’impossible
J’ai compris qu’avec le temps
Etre libre est plus tolérable
Même en vieillissant
Vous qui me lisez en ce moment
Pour le plaisir des mots et maux
Vous m’avez inspiré si souvent
Les plus doux sentiments
Vous qui devinez entre mes lignes
Des peines que je ne conte pas
Vous, qui souvent j’imagine
Mais, que je ne connais pas
Merci à vous d’être mes ami(e)s
De mettre de la douceur sur ma vie
La tendresse déposée sur mon chemin
Que j’en avais tellement besoin
J’ai essuyé toutes mes larmes
J’ai baissé toutes les armes
Je vois enfin la beauté du jour
et je ne crains plus l’amour
©Fouzia El Mellah
