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V’la les paroles , je sais plus l’air !!!
Ce n’est qu’un simple octogénaire
Qui vaudrait deux quadragénaires
Si ce calcul imaginaire
À un matheux avait pu plaire
Car entre le décisionnaire
Se décarcassant à bien faire
Et une espèce de sédentaire
Il se retrouve solitaire
On trouvera un débonnaire
Rimant de façon arbitraire
En chaussant les binoculaires
Dont sa rétine est tributaire
Mais il évite le vulgaire
Qui ne saurait le satisfaire
Car il a le goût littéraire
Et il dit qu’il a lu Voltaire
Mais peut-être est-ce le contraire
Ses vers ont des rimes précaires
Bien qu’usant d’un vocabulaire
D’un enseignement littéraire
Parfois il se fait incendiaire
Contre l’état ce "ponctionnaire"
Qui n’aime pas le pamphlétaire
Au naturel contestataire
De la France cet originaire
Est bien sur révolutionnaire
Maîtrisant mal le monétaire
De l’argent il est tributaire
Dès que vient le crépusculaire
Il prend l’ouvrage d’un libraire
Et lit tant que le jour l’éclaire
De la prose ou bien Baudelaire
En amour il fit peu d’ affaires
Car peu enclin au temporaire
Il conserva ses partenaires
Aux doux échanges exemplaires
Sans excès dans l’humanitaire
il eut la bonté nécessaire
On peut sans être missionnaire
Aider l’existence précaire
De vie il n’est que locataire
Et s’il devenait grabataire
Il ferait venir son notaire
Pour un testament exemplaire
Du français il fut pensionnaire
Et avant de finir en terre
Il veux que soit héréditaire
Son amour pour le littéraire.
Sur le monument mortuaire
Sans volonté testamentaire
Ne gravez que le nécessaire
Le marbre même est temporaire
Par de service funéraire
Au larmoiement atrabilaire
Pas de décorum somptuaire
Il part emmerder Lucifer.
Ce n’est qu’un simple octogénaire
Qui vaudrait deux quadragénaires
Si ce calcul imaginaire
À un matheux avait pu plaire
Car entre le décisionnaire
Se décarcassant à bien faire
Et une espèce de sédentaire
Il se retrouve solitaire
On trouvera un débonnaire
Rimant de façon arbitraire
En chaussant les binoculaires
Dont sa rétine est tributaire
Mais il évite le vulgaire
Qui ne saurait le satisfaire
Car il a le goût littéraire
Et il dit qu’il a lu Voltaire
Mais peut-être est-ce le contraire
Ses vers ont des rimes précaires
Bien qu’usant d’un vocabulaire
D’un enseignement littéraire
Parfois il se fait incendiaire
Contre l’état ce "ponctionnaire"
Qui n’aime pas le pamphlétaire
Au naturel contestataire
De la France cet originaire
Est bien sur révolutionnaire
Maîtrisant mal le monétaire
De l’argent il est tributaire
Dès que vient le crépusculaire
Il prend l’ouvrage d’un libraire
Et lit tant que le jour l’éclaire
De la prose ou bien Baudelaire
En amour il fit peu d’ affaires
Car peu enclin au temporaire
Il conserva ses partenaires
Aux doux échanges exemplaires
Sans excès dans l’humanitaire
il eut la bonté nécessaire
On peut sans être missionnaire
Aider l’existence précaire
De vie il n’est que locataire
Et s’il devenait grabataire
Il ferait venir son notaire
Pour un testament exemplaire
Du français il fut pensionnaire
Et avant de finir en terre
Il veux que soit héréditaire
Son amour pour le littéraire.
Sur le monument mortuaire
Sans volonté testamentaire
Ne gravez que le nécessaire
Le marbre même est temporaire
Par de service funéraire
Au larmoiement atrabilaire
Pas de décorum somptuaire
Il part emmerder Lucifer.