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- SIX-FOURS LES PLAGES
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Campée en haut de la falaise
J’ai l’humeur volage,
Je me souviens ,très à l’aise,
Que , je suis une dame d’un âge !
Je regarde avec humour,
Ce petit monde en vacances
Qui sur la plage, et alentour
Retrouve les gestes de l’enfance !
Un papa s’écroule dans le sable,
Sous le rire cristallin de son petit,
Une nymphette, imperturbable
Lunettes noires, maillot mini,
S’époussette, d’un air outré,
Un plongeur dégoulinant,
Près d’elle, se laisse tomber,
De la- haut ,j’observe ,en riant !
L’éclat d’un dos rougissant,
Attire mon regard,
S’en est presque affligeant
Cette mutation,en homard !
Ils sont fous,ces touristes
Exposés ainsi au soleil de midi
Ils oublient ,
ces, j’m’enfoutistes
Que le soleil n’est pas qu’un ami !
Je reste ainsi, dubitative ,
A regarder ce monde qui grouille
Au large ,voguent ,à la dérive,
Des paddles en vadrouille
De son mirador ,le surveillant
Se dandine ,crie, s’essouffle ,
Rappelant en gesticulant,
Ces fous en déroute !
La mer depuis toujours, me fascine
Et le soleil à son couchant,
Se mire dans ses eaux tranquilles,
Que ne suis-je encore enfant,
Pour me saisir de l’arc en ciel,
Pour courir , rire et nager
Profiter de toutes ces merveilles
Vivre jusqu’à satiété !
Campée, en haut de la falaise,
Mon humeur a changée,
La mer toujours m’attire
Mais le temps hélas a passé !
G.P JUIN 2019
J’ai l’humeur volage,
Je me souviens ,très à l’aise,
Que , je suis une dame d’un âge !
Je regarde avec humour,
Ce petit monde en vacances
Qui sur la plage, et alentour
Retrouve les gestes de l’enfance !
Un papa s’écroule dans le sable,
Sous le rire cristallin de son petit,
Une nymphette, imperturbable
Lunettes noires, maillot mini,
S’époussette, d’un air outré,
Un plongeur dégoulinant,
Près d’elle, se laisse tomber,
De la- haut ,j’observe ,en riant !
L’éclat d’un dos rougissant,
Attire mon regard,
S’en est presque affligeant
Cette mutation,en homard !
Ils sont fous,ces touristes
Exposés ainsi au soleil de midi
Ils oublient ,
Que le soleil n’est pas qu’un ami !
Je reste ainsi, dubitative ,
A regarder ce monde qui grouille
Au large ,voguent ,à la dérive,
Des paddles en vadrouille
De son mirador ,le surveillant
Se dandine ,crie, s’essouffle ,
Rappelant en gesticulant,
Ces fous en déroute !
La mer depuis toujours, me fascine
Et le soleil à son couchant,
Se mire dans ses eaux tranquilles,
Que ne suis-je encore enfant,
Pour me saisir de l’arc en ciel,
Pour courir , rire et nager
Profiter de toutes ces merveilles
Vivre jusqu’à satiété !
Campée, en haut de la falaise,
Mon humeur a changée,
La mer toujours m’attire
Mais le temps hélas a passé !
G.P JUIN 2019