Nouvelle VOYOU!

Bonjour,



Vous parlerai-je de ce petit chiot, sorti de nulle part , que notre fils, Sacha ,a trouvé ,quelques jours avant Noël, au bord de la route dans le quartier du Pont du Las….

Une petite boule de poils , frissonnante, deux yeux plein d’inquiétude ,le tout dans un sac de sport ou seule la tête apparaissait .

Notre fils arrive à la maison…La veille de Noël………..

« Man, j’ai un cadeau pour vous !!!!!

Et quel cadeau !!!Je tends les bras, vers le précieux colis, un concert de plaintes, de grands coups de langue ,me débarbouillent…Il gesticule, geint , et finit par jaillir du sac de sport ,il est là, debout devant nous ,un peu titubant , beau comme un cœur ,une merveille.

Je fond de tendresse, sous l’œil courroucé de mon mari, qui depuis la disparition de notre précédent chien, Samy, à jurer de ne plus s’attacher à un autre chien….Mais c’était sans compter sur la certitude de notre fils, que nous allions craqué, et surtout sans compter sur le charme de cette petite bestiole, qui ,à peine les pattes posées au sol, a pris possession de la maison, du jardin et de notre cœur.

Ce petit bout de chien devait avoir à peine quelques semaines, à son arrivée chez nous ; et son début de vie, séparé si tôt de sa maman, n’a pas dû être facile à assumer !

Personne n’a jamais chercher à le retrouver ;

Voilà donc un hôte de plus à la maison, pour le bonheur de toute la famille.

Partout ou nous allons, « Voyou » est de la partie, sage , bien éduqué ,il grandit et devient un beau grand chien, costaud , à la démarche un peu dégingandée.

Mon mari, moqueur, décide , que son pédigrée sera « Voyou Perrin, Berger de Thaïlande » à la surprise de pas mal d’amis, étonnés de ne pas connaître cette race !

Il à une bouille marrante ,notre Voyou !Intéressé par tout ce qui bouge, il gambade ,court, se roule dans l’herbe , reste ahuri devant une feuille qui tourbillonne ,la suit du regard , étonné. Il gratte le sol semblant chercher du pétrole…s’acharne, finit par se coucher, nous observe, repart au trot , plus vif que l’éclair , pour finir, freinant des pattes arrières, ko, vautré dans l’herbe !.

Il est fou , fou amoureux de Margaux, femelle doberman ,il lui est fidèle, lui nettoie les oreilles tous les jours léchant consciencieusement le dedans, le dehors, parfois les yeux, et Margot béate se laisse faire, consentante ,les yeux retournés de bien être !!!



Il connait son monde, fait la fête à tous ceux qu’il aime , ignore les autres !

Mais il a un ennemi ,tout au long de sa vie le même ennemi…Il ne supporte pas les chiens abrutis ,teigneux, prétentieux, le genre « chiwawa » qui lève la patte sur le portail ou qui jappe sans arrêt ; Ah celui là ,n’est pas en odeur de sainteté ;Pas plus que le petit caniche précieux ,permanenté, parfumé, qui se déplace sur la pointe des papattes aux ongles vernis….Il les fait courir, fanfaron, semblant prêt à les croquer, il effraie maitres et chienchiens ;et nous maîtres aveuglés par notre tendresse pour ce molosse sympathique, nous nous permettons de rire du cirque qu’il nous fait à chaque rencontre improvisée, dans le bois de la Coudoulière ou sur les plages du secteur.

Il a la faculté d’apprendre avec facilité ;Ainsi à l’heure de l’apéritif, lorsque nos amis sont tous bien installés, je cris Voyou « apporte les glaçons s’il te plait »…Et « il lui plait de les apporter…Car dans la minute qui suit, sous l’œil ébahi des invités, Voyou, s’ approche, de la table, digne, l’anse du seau à glaçons dans la gueule , qu’il dépose près de son maître ,sans rien renverser …Un silence suivi d’un éclat de rire retenti ,et le brouhaha des conversations reprend , sous l »œil attentif de notre chien, surveillant les biscuits apéritif !

Voyou c’était ça !Un brave chien plein de drôleries, plein d’amour et d’humour ,c’était un membre de notre famille, et tous nous l’adorions, jusqu'à ce qu’il tombe malade…

Et puis après tout est parti a vau l’eau……Souffrances , traitements lourds, injections, calmants…Et nous ; comme des imbéciles, nous espérions, nous avions tellement envie qu’il guérisse, tellement que lorsqu’il y a eu un petit mieux, nous avons failli crier victoire, mais c’était sans compter sur cette saleté de maladie qui petit a petit a anéanti notre amour de chien…Lui laissant un petit souffle de vie, pour faire le tour de la table, ce samedi soir, juste le temps de se traîner de l’un à l’autre, nous regarder, poser sa tête sur mes genoux, et glissant au sol ,les yeux fixés sur sa famille ,il est parti, notre petit chien espiègle et tant aimé ;Il est parti , et douze ans après ,il nous manque encore !

Bonjour,



Vous parlerai-je de ce petit chiot, sorti de nulle part , que notre fils, Sacha ,a trouvé ,quelques jours avant Noël, au bord de la route dans le quartier du Pont du Las….

Une petite boule de poils , frissonnante, deux yeux plein d’inquiétude ,le tout dans un sac de sport ou seule la tête apparaissait .

Notre fils arrive à la maison…La veille de Noël………..

« Man, j’ai un cadeau pour vous !!!!!

Et quel cadeau !!!Je tends les bras, vers le précieux colis, un concert de plaintes, de grands coups de langue ,me débarbouillent…Il gesticule, geint , et finit par jaillir du sac de sport ,il est là, debout devant nous ,un peu titubant , beau comme un cœur ,une merveille.

Je fond de tendresse, sous l’œil courroucé de mon mari, qui depuis la disparition de notre précédent chien, Samy, à jurer de ne plus s’attacher à un autre chien….Mais c’était sans compter sur la certitude de notre fils, que nous allions craqué, et surtout sans compter sur le charme de cette petite bestiole, qui ,à peine les pattes posées au sol, a pris possession de la maison, du jardin et de notre cœur.

Ce petit bout de chien devait avoir à peine quelques semaines, à son arrivée chez nous ; et son début de vie, séparé si tôt de sa maman, n’a pas dû être facile à assumer !

Personne n’a jamais chercher à le retrouver ;

Voilà donc un hôte de plus à la maison, pour le bonheur de toute la famille.

Partout ou nous allons, « Voyou » est de la partie, sage , bien éduqué ,il grandit et devient un beau grand chien, costaud , à la démarche un peu dégingandée.

Mon mari, moqueur, décide , que son pédigrée sera « Voyou Perrin, Berger de Thaïlande » à la surprise de pas mal d’amis, étonnés de ne pas connaître cette race !

Il à une bouille marrante ,notre Voyou !Intéressé par tout ce qui bouge, il gambade ,court, se roule dans l’herbe , reste ahuri devant une feuille qui tourbillonne ,la suit du regard , étonné. Il gratte le sol semblant chercher du pétrole…s’acharne, finit par se coucher, nous observe, repart au trot , plus vif que l’éclair , pour finir, freinant des pattes arrières, ko, vautré dans l’herbe !.

Il est fou , fou amoureux de Margaux, femelle doberman ,il lui est fidèle, lui nettoie les oreilles tous les jours léchant consciencieusement le dedans, le dehors, parfois les yeux, et Margot béate se laisse faire, consentante ,les yeux retournés de bien être !!!



Il connait son monde, fait la fête à tous ceux qu’il aime , ignore les autres !

Mais il a un ennemi ,tout au long de sa vie le même ennemi…Il ne supporte pas les chiens abrutis ,teigneux, prétentieux, le genre « chiwawa » qui lève la patte sur le portail ou qui jappe sans arrêt ; Ah celui là ,n’est pas en odeur de sainteté ;Pas plus que le petit caniche précieux ,permanenté, parfumé, qui se déplace sur la pointe des papattes aux ongles vernis….Il les fait courir, fanfaron, semblant prêt à les croquer, il effraie maitres et chienchiens ;et nous maîtres aveuglés par notre tendresse pour ce molosse sympathique, nous nous permettons de rire du cirque qu’il nous fait à chaque rencontre improvisée, dans le bois de la Coudoulière ou sur les plages du secteur.

Il a la faculté d’apprendre avec facilité ;Ainsi à l’heure de l’apéritif, lorsque nos amis sont tous bien installés, je cris Voyou « apporte les glaçons s’il te plait »…Et « il lui plait de les apporter…Car dans la minute qui suit, sous l’œil ébahi des invités, Voyou, s’ approche, de la table, digne, l’anse du seau à glaçons dans la gueule , qu’il dépose près de son maître ,sans rien renverser …Un silence suivi d’un éclat de rire retenti ,et le brouhaha des conversations reprend , sous l »œil attentif de notre chien, surveillant les biscuits apéritif !

Voyou c’était ça !Un brave chien plein de drôleries, plein d’amour et d’humour ,c’était un membre de notre famille, et tous nous l’adorions, jusqu'à ce qu’il tombe malade…

Et puis après tout est parti a vau l’eau……Souffrances , traitements lourds, injections, calmants…Et nous ; comme des imbéciles, nous espérions, nous avions tellement envie qu’il guérisse, tellement que lorsqu’il y a eu un petit mieux, nous avons failli crier victoire, mais c’était sans compter sur cette saleté de maladie qui petit a petit a anéanti notre amour de chien…Lui laissant un petit souffle de vie, pour faire le tour de la table, ce samedi soir, juste le temps de se traîner de l’un à l’autre, nous regarder, poser sa tête sur mes genoux, et glissant au sol ,les yeux fixés sur sa famille ,il est parti, notre petit chien espiègle et tant aimé ;Il est parti , et douze ans après ,il nous manque encore !

Bonjour,



Vous parlerai-je de ce petit chiot, sorti de nulle part , que notre fils, Sacha ,a trouvé ,quelques jours avant Noël, au bord de la route dans le quartier du Pont du Las….

Une petite boule de poils , frissonnante, deux yeux plein d’inquiétude ,le tout dans un sac de sport ou seule la tête apparaissait .

Notre fils arrive à la maison…La veille de Noël………..

« Man, j’ai un cadeau pour vous !!!!!

Et quel cadeau !!!Je tends les bras, vers le précieux colis, un concert de plaintes, de grands coups de langue ,me débarbouillent…Il gesticule, geint , et finit par jaillir du sac de sport ,il est là, debout devant nous ,un peu titubant , beau comme un cœur ,une merveille.

Je fond de tendresse, sous l’œil courroucé de mon mari, qui depuis la disparition de notre précédent chien, Samy, à jurer de ne plus s’attacher à un autre chien….Mais c’était sans compter sur la certitude de notre fils, que nous allions craqué, et surtout sans compter sur le charme de cette petite bestiole, qui ,à peine les pattes posées au sol, a pris possession de la maison, du jardin et de notre cœur.

Ce petit bout de chien devait avoir à peine quelques semaines, à son arrivée chez nous ; et son début de vie, séparé si tôt de sa maman, n’a pas dû être facile à assumer !

Personne n’a jamais chercher à le retrouver ;

Voilà donc un hôte de plus à la maison, pour le bonheur de toute la famille.

Partout ou nous allons, « Voyou » est de la partie, sage , bien éduqué ,il grandit et devient un beau grand chien, costaud , à la démarche un peu dégingandée.

Mon mari, moqueur, décide , que son pédigrée sera « Voyou Perrin, Berger de Thaïlande » à la surprise de pas mal d’amis, étonnés de ne pas connaître cette race !

Il à une bouille marrante ,notre Voyou !Intéressé par tout ce qui bouge, il gambade ,court, se roule dans l’herbe , reste ahuri devant une feuille qui tourbillonne ,la suit du regard , étonné. Il gratte le sol semblant chercher du pétrole…s’acharne, finit par se coucher, nous observe, repart au trot , plus vif que l’éclair , pour finir, freinant des pattes arrières, ko, vautré dans l’herbe !.

Il est fou , fou amoureux de Margaux, femelle doberman ,il lui est fidèle, lui nettoie les oreilles tous les jours léchant consciencieusement le dedans, le dehors, parfois les yeux, et Margot béate se laisse faire, consentante ,les yeux retournés de bien être !!!



Il connait son monde, fait la fête à tous ceux qu’il aime , ignore les autres !

Mais il a un ennemi ,tout au long de sa vie le même ennemi…Il ne supporte pas les chiens abrutis ,teigneux, prétentieux, le genre « chiwawa » qui lève la patte sur le portail ou qui jappe sans arrêt ; Ah celui là ,n’est pas en odeur de sainteté ;Pas plus que le petit caniche précieux ,permanenté, parfumé, qui se déplace sur la pointe des papattes aux ongles vernis….Il les fait courir, fanfaron, semblant prêt à les croquer, il effraie maitres et chienchiens ;et nous maîtres aveuglés par notre tendresse pour ce molosse sympathique, nous nous permettons de rire du cirque qu’il nous fait à chaque rencontre improvisée, dans le bois de la Coudoulière ou sur les plages du secteur.

Il a la faculté d’apprendre avec facilité ;Ainsi à l’heure de l’apéritif, lorsque nos amis sont tous bien installés, je cris Voyou « apporte les glaçons s’il te plait »…Et « il lui plait de les apporter…Car dans la minute qui suit, sous l’œil ébahi des invités, Voyou, s’ approche, de la table, digne, l’anse du seau à glaçons dans la gueule , qu’il dépose près de son maître ,sans rien renverser …Un silence suivi d’un éclat de rire retenti ,et le brouhaha des conversations reprend , sous l »œil attentif de notre chien, surveillant les biscuits apéritif !

Voyou c’était ça !Un brave chien plein de drôleries, plein d’amour et d’humour ,c’était un membre de notre famille, et tous nous l’adorions, jusqu'à ce qu’il tombe malade…

Et puis après tout est parti a vau l’eau……Souffrances , traitements lourds, injections, calmants…Et nous ; comme des imbéciles, nous espérions, nous avions tellement envie qu’il guérisse, tellement que lorsqu’il y a eu un petit mieux, nous avons failli crier victoire, mais c’était sans compter sur cette saleté de maladie qui petit a petit a anéanti notre amour de chien…Lui laissant un petit souffle de vie, pour faire le tour de la table, ce samedi soir, juste le temps de se traîner de l’un à l’autre, nous regarder, poser sa tête sur mes genoux, et glissant au sol ,les yeux fixés sur sa famille ,il est parti, notre petit chien espiègle et tant aimé ;Il est parti , et douze ans après ,il nous manque encore !

Bonjour,



Vous parlerai-je de ce petit chiot, sorti de nulle part , que notre fils, Sacha ,a trouvé ,quelques jours avant Noël, au bord de la route dans le quartier du Pont du Las….

Une petite boule de poils , frissonnante, deux yeux plein d’inquiétude ,le tout dans un sac de sport ou seule la tête apparaissait .

Notre fils arrive à la maison…La veille de Noël………..

« Man, j’ai un cadeau pour vous !!!!!

Et quel cadeau !!!Je tends les bras, vers le précieux colis, un concert de plaintes, de grands coups de langue ,me débarbouillent…Il gesticule, geint , et finit par jaillir du sac de sport ,il est là, debout devant nous ,un peu titubant , beau comme un cœur ,une merveille.

Je fond de tendresse, sous l’œil courroucé de mon mari, qui depuis la disparition de notre précédent chien, Samy, à jurer de ne plus s’attacher à un autre chien….Mais c’était sans compter sur la certitude de notre fils, que nous allions craqué, et surtout sans compter sur le charme de cette petite bestiole, qui ,à peine les pattes posées au sol, a pris possession de la maison, du jardin et de notre cœur.

Ce petit bout de chien devait avoir à peine quelques semaines, à son arrivée chez nous ; et son début de vie, séparé si tôt de sa maman, n’a pas dû être facile à assumer !

Personne n’a jamais chercher à le retrouver ;

Voilà donc un hôte de plus à la maison, pour le bonheur de toute la famille.

Partout ou nous allons, « Voyou » est de la partie, sage , bien éduqué ,il grandit et devient un beau grand chien, costaud , à la démarche un peu dégingandée.

Mon mari, moqueur, décide , que son pédigrée sera « Voyou Perrin, Berger de Thaïlande » à la surprise de pas mal d’amis, étonnés de ne pas connaître cette race !

Il à une bouille marrante ,notre Voyou !Intéressé par tout ce qui bouge, il gambade ,court, se roule dans l’herbe , reste ahuri devant une feuille qui tourbillonne ,la suit du regard , étonné. Il gratte le sol semblant chercher du pétrole…s’acharne, finit par se coucher, nous observe, repart au trot , plus vif que l’éclair , pour finir, freinant des pattes arrières, ko, vautré dans l’herbe !.

Il est fou , fou amoureux de Margaux, femelle doberman ,il lui est fidèle, lui nettoie les oreilles tous les jours léchant consciencieusement le dedans, le dehors, parfois les yeux, et Margot béate se laisse faire, consentante ,les yeux retournés de bien être !!!



Il connait son monde, fait la fête à tous ceux qu’il aime , ignore les autres !

Mais il a un ennemi ,tout au long de sa vie le même ennemi…Il ne supporte pas les chiens abrutis ,teigneux, prétentieux, le genre « chiwawa » qui lève la patte sur le portail ou qui jappe sans arrêt ; Ah celui là ,n’est pas en odeur de sainteté ;Pas plus que le petit caniche précieux ,permanenté, parfumé, qui se déplace sur la pointe des papattes aux ongles vernis….Il les fait courir, fanfaron, semblant prêt à les croquer, il effraie maitres et chienchiens ;et nous maîtres aveuglés par notre tendresse pour ce molosse sympathique, nous nous permettons de rire du cirque qu’il nous fait à chaque rencontre improvisée, dans le bois de la Coudoulière ou sur les plages du secteur.

Il a la faculté d’apprendre avec facilité ;Ainsi à l’heure de l’apéritif, lorsque nos amis sont tous bien installés, je cris Voyou « apporte les glaçons s’il te plait »…Et « il lui plait de les apporter…Car dans la minute qui suit, sous l’œil ébahi des invités, Voyou, s’ approche, de la table, digne, l’anse du seau à glaçons dans la gueule , qu’il dépose près de son maître ,sans rien renverser …Un silence suivi d’un éclat de rire retenti ,et le brouhaha des conversations reprend , sous l »œil attentif de notre chien, surveillant les biscuits apéritif !

Voyou c’était ça !Un brave chien plein de drôleries, plein d’amour et d’humour ,c’était un membre de notre famille, et tous nous l’adorions, jusqu'à ce qu’il tombe malade…

Et puis après tout est parti a vau l’eau……Souffrances , traitements lourds, injections, calmants…Et nous ; comme des imbéciles, nous espérions, nous avions tellement envie qu’il guérisse, tellement que lorsqu’il y a eu un petit mieux, nous avons failli crier victoire, mais c’était sans compter sur cette saleté de maladie qui petit a petit a anéanti notre amour de chien…Lui laissant un petit souffle de vie, pour faire le tour de la table, ce samedi soir, juste le temps de se traîner de l’un à l’autre, nous regarder, poser sa tête sur mes genoux, et glissant au sol ,les yeux fixés sur sa famille ,il est parti, notre petit chien espiègle et tant aimé ;Il est parti , et douze ans après ,il nous manque encore !

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Vous parlerai-je de ce petit chiot, sorti de nulle part , que notre fils, Sacha ,a trouvé ,quelques jours avant Noël, au bord de la route dans le quartier du Pont du Las….

Une petite boule de poils , frissonnante, deux yeux plein d’inquiétude ,le tout dans un sac de sport ou seule la tête apparaissait .

Notre fils arrive à la maison…La veille de Noël………..

« Man, j’ai un cadeau pour vous !!!!!

Et quel cadeau !!!Je tends les bras, vers le précieux colis, un concert de plaintes, de grands coups de langue ,me débarbouillent…Il gesticule, geint , et finit par jaillir du sac de sport ,il est là, debout devant nous ,un peu titubant , beau comme un cœur ,une merveille.

Je fond de tendresse, sous l’œil courroucé de mon mari, qui depuis la disparition de notre précédent chien, Samy, à jurer de ne plus s’attacher à un autre chien….Mais c’était sans compter sur la certitude de notre fils, que nous allions craqué, et surtout sans compter sur le charme de cette petite bestiole, qui ,à peine les pattes posées au sol, a pris possession de la maison, du jardin et de notre cœur.

Ce petit bout de chien devait avoir à peine quelques semaines, à son arrivée chez nous ; et son début de vie, séparé si tôt de sa maman, n’a pas dû être facile à assumer !

Personne n’a jamais chercher à le retrouver ;

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Partout ou nous allons, « Voyou » est de la partie, sage , bien éduqué ,il grandit et devient un beau grand chien, costaud , à la démarche un peu dégingandée.

Mon mari, moqueur, décide , que son pédigrée sera « Voyou Perrin, Berger de Thaïlande » à la surprise de pas mal d’amis, étonnés de ne pas connaître cette race !

Il à une bouille marrante ,notre Voyou !Intéressé par tout ce qui bouge, il gambade ,court, se roule dans l’herbe , reste ahuri devant une feuille qui tourbillonne ,la suit du regard , étonné. Il gratte le sol semblant chercher du pétrole…s’acharne, finit par se coucher, nous observe, repart au trot , plus vif que l’éclair , pour finir, freinant des pattes arrières, ko, vautré dans l’herbe !.

Il est fou , fou amoureux de Margaux, femelle doberman ,il lui est fidèle, lui nettoie les oreilles tous les jours léchant consciencieusement le dedans, le dehors, parfois les yeux, et Margot béate se laisse faire, consentante ,les yeux retournés de bien être !!!



Il connait son monde, fait la fête à tous ceux qu’il aime , ignore les autres !

Mais il a un ennemi ,tout au long de sa vie le même ennemi…Il ne supporte pas les chiens abrutis ,teigneux, prétentieux, le genre « chiwawa » qui lève la patte sur le portail ou qui jappe sans arrêt ; Ah celui là ,n’est pas en odeur de sainteté ;Pas plus que le petit caniche précieux ,permanenté, parfumé, qui se déplace sur la pointe des papattes aux ongles vernis….Il les fait courir, fanfaron, semblant prêt à les croquer, il effraie maitres et chienchiens ;et nous maîtres aveuglés par notre tendresse pour ce molosse sympathique, nous nous permettons de rire du cirque qu’il nous fait à chaque rencontre improvisée, dans le bois de la Coudoulière ou sur les plages du secteur.

Il a la faculté d’apprendre avec facilité ;Ainsi à l’heure de l’apéritif, lorsque nos amis sont tous bien installés, je cris Voyou « apporte les glaçons s’il te plait »…Et « il lui plait de les apporter…Car dans la minute qui suit, sous l’œil ébahi des invités, Voyou, s’ approche, de la table, digne, l’anse du seau à glaçons dans la gueule , qu’il dépose près de son maître ,sans rien renverser …Un silence suivi d’un éclat de rire retenti ,et le brouhaha des conversations reprend , sous l »œil attentif de notre chien, surveillant les biscuits apéritif !

Voyou c’était ça !Un brave chien plein de drôleries, plein d’amour et d’humour ,c’était un membre de notre famille, et tous nous l’adorions, jusqu'à ce qu’il tombe malade…

Et puis après tout est parti a vau l’eau……Souffrances , traitements lourds, injections, calmants…Et nous ; comme des imbéciles, nous espérions, nous avions tellement envie qu’il guérisse, tellement que lorsqu’il y a eu un petit mieux, nous avons failli crier victoire, mais c’était sans compter sur cette saleté de maladie qui petit a petit a anéanti notre amour de chien…Lui laissant un petit souffle de vie, pour faire le tour de la table, ce samedi soir, juste le temps de se traîner de l’un à l’autre, nous regarder, poser sa tête sur mes genoux, et glissant au sol ,les yeux fixés sur sa famille ,il est parti, notre petit chien espiègle et tant aimé ;Il est parti , et douze ans après ,il nous manque encore !