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SI ...
Si la liberté diminue
Et que l’égalité se meure
La fraternité qui n’est plus
Entrera en ses tristes heures
J’aimerais avant qu’on m’enterre
Voir un miracle politique
Un meneur sachant satisfaire
Les besoins de la République.
L’élection démocratique
Nous conduisit à aimer l’urne
Mais la perfidie politique
Mous cassa bien souvent les burnes
On changea de parti bien vite
Mais pire furent nos destins
La république périclite
Si ses guides sont des crétins
La télé la radio permirent
Aux simples d’esprits de briller
De promettre souvent le pire
Sans se retrouver étrillés
Alors les finances publiques
S’éloignèrent de l’abondance
L’impôt se montra très inique
Certains s’en enflèrent la panse
Mais d’autres toujours corvéables
Obligés de pisser l’euro
Trouvant leur état méprisable
Des votes quittèrent les bureaux
Ainsi allant à la dérive
Il nous faudrait bien découvrir
Une boussole corrective
Sachant décider et choisir
Car alors que je prends de l’âge
Je ne vois plus de compétence
Capable de faire le ménage
Dans notre royaume de France
On devrait avoir quelque part
Un bagne pour les incapables
Les agitateurs les gueulards
Qui fabriquent des misérables
Et en virant les inutiles
Payés par les sous de l’état
La vie deviendrait moins futile
En aidant le prolétariat
Mais comme le disait mon voisin
Pour que la France se débarbouille
Il faudrait élire un malin
Qui ait moins de gueule plus de couilles
Car le problème d’ici bas
Est que les coqs de nos jours
Élisent souvent des fadas
Auxquels des simplets font la cour.
Si la liberté diminue
Et que l’égalité se meure
La fraternité qui n’est plus
Entrera en ses tristes heures
J’aimerais avant qu’on m’enterre
Voir un miracle politique
Un meneur sachant satisfaire
Les besoins de la République.
L’élection démocratique
Nous conduisit à aimer l’urne
Mais la perfidie politique
Mous cassa bien souvent les burnes
On changea de parti bien vite
Mais pire furent nos destins
La république périclite
Si ses guides sont des crétins
La télé la radio permirent
Aux simples d’esprits de briller
De promettre souvent le pire
Sans se retrouver étrillés
Alors les finances publiques
S’éloignèrent de l’abondance
L’impôt se montra très inique
Certains s’en enflèrent la panse
Mais d’autres toujours corvéables
Obligés de pisser l’euro
Trouvant leur état méprisable
Des votes quittèrent les bureaux
Ainsi allant à la dérive
Il nous faudrait bien découvrir
Une boussole corrective
Sachant décider et choisir
Car alors que je prends de l’âge
Je ne vois plus de compétence
Capable de faire le ménage
Dans notre royaume de France
On devrait avoir quelque part
Un bagne pour les incapables
Les agitateurs les gueulards
Qui fabriquent des misérables
Et en virant les inutiles
Payés par les sous de l’état
La vie deviendrait moins futile
En aidant le prolétariat
Mais comme le disait mon voisin
Pour que la France se débarbouille
Il faudrait élire un malin
Qui ait moins de gueule plus de couilles
Car le problème d’ici bas
Est que les coqs de nos jours
Élisent souvent des fadas
Auxquels des simplets font la cour.