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À ma fille Isabelle.
En ces temps incertains, où se languit mon âme,
De ne plus t’embrasser, te prouver mon amour ;
Je suis proche de toi, mais ce virus infâme
M’interdit de te voir, ce n’est pas loin Strasbourg !
De ne plus t’embrasser, te prouver mon amour
Me rend vraiment triste et pourtant je ne te blâme,
J’ai tant besoin de toi, j’y pense chaque jour.
Je voudrais te chérir, sans que ce soit un drame !
De ne plus t’embrasser, te prouver mon amour ;
Je suis proche de toi, mais ce virus infâme
M’interdit de te voir, ce n’est pas loin Strasbourg !
De ne plus t’embrasser, te prouver mon amour
Me rend vraiment triste et pourtant je ne te blâme,
J’ai tant besoin de toi, j’y pense chaque jour.
Je voudrais te chérir, sans que ce soit un drame !
En ces temps incertains, se languit mon âme,
Je suis venue vers toi, voilà qu’on m’interdit
De te voir non masquée, sans faire d’amalgame :
Tels pestiférés, cela m’abasourdit !
Je suis venue vers toi, voilà qu’on m’interdit
De te voir non masquée, sans faire d’amalgame :
Tels pestiférés, cela m’abasourdit !
J’ai tant besoin de toi, j’y pense chaque jour,
À ce moment heureux, tout contre ma poitrine,
Quand je te serrerai, n’ayant plus le cœur lourd,
Ma fille que j’adore ô sensation divine !
Je voudrais te chérir, sans que ce soit un drame !
Te bercer dans mes bras, ainsi qu’aux temps lointains,
Où la douce fillette et joli bout de femme,
Me confiait secrets et chagrins enfantins…
À ce moment heureux, tout contre ma poitrine,
Quand je te serrerai, n’ayant plus le cœur lourd,
Ma fille que j’adore ô sensation divine !
Je voudrais te chérir, sans que ce soit un drame !
Te bercer dans mes bras, ainsi qu’aux temps lointains,
Où la douce fillette et joli bout de femme,
Me confiait secrets et chagrins enfantins…
Marie-Claire 01/01/2021 18 h 30
J'ai eu le bonheur de voir ma fille aujourd'hui, mais toutes ces précautions nous empêchent de nous embrasser.
Je pense aussi à toutes ces mamans et ces papas dans les EHPAD, qui doivent se sentir abandonnés.
Que c'est triste !!!
J'ai eu le bonheur de voir ma fille aujourd'hui, mais toutes ces précautions nous empêchent de nous embrasser.
Je pense aussi à toutes ces mamans et ces papas dans les EHPAD, qui doivent se sentir abandonnés.
Que c'est triste !!!