Coucou Mo, mon ressenti sur ton texte au début c'est toi à l'intérieur qui regarde l'hiver par la fenêtre avec un vocable montrant le temps presque comme un monstre, puis cela s'adoucit lorsque tu ouvres la porte, et apres quelques pas dehors le monstre de l'hiver devient un ange, du coup, je me dis, c'est un poème de quelqu'un qui ne sent pas bien en lui mais qui ose franchir le seuil de ses effrois, un texte sophrologique en fin de conte, Merci.