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Athalie ou Camille, donnez donc votre avis !
Ce fut pendant l’horreur d’une profonde nuit
Un virus tout nouveau vint nous faire des ennuis
La bestiole de couronne est plaisamment parée
Mais elle est si petite qu’elle ne s’est pas montrée
En squattant les cellules avec rapidité
Elle détruit peu à peu les fragiles santés
Et comme on connaît mal ses homicides usages
On ne sait pas parer ses terribles outrages
Soudain à la radio, la télé maintes voix
S’en vienne pérorer pour se donner du poids
Et le peuple tombant dans leurs mains redoutables
Frémit devant la peur de maux épouvantables
Certains sots proférant qu’il faudrait se baisser
Pour trouver le remède sachant tout apaiser
De solutions bizarres inventent le mélange
L’état désorienté pédale dans la fange.
Faisons qu’avec sagesse dans ce contexte affreux
Les savants aboutissent , les cons se bouffent entre eux.
Covid unique objet de mon ressentiment
Covid qui assassine irrémédiablement
Covid qu’il faut occire pour exister encore
D’une vive agonie causée par l’anticorps.
Puissent tous les savants venir nous rassurer
En trouvant le remède par la vie désiré
Et que se taisent enfin les hordes d’abrutis
Qui parlent sans savoir de la pathologie
Que des actifs discrets mais pourtant efficaces
Viennent faire reculer la mortelle menace
Que l’on ne se soucie des montagnes ou des mers
Pour soigner au plus tôt notre triste univers
Que tous ceux qui refusent la muraille du masque
Se trouvent sanctionnés de fiscale bourrasque
Et que le dieu des cons les rendent silencieux
Les discours d’ignorants sont mots pernicieux
Il faudra bien qu’un jour vienne tombe la foudre
Sur ceux qui a nos yeux aiment lancer la poudre
Laissons le temps agir sans pousser des soupirs
Donnons à la science de trouver le loisir.
Et comme l’a dit Prévert dont le style ne s’émousse
« l’homme est dans la brouette et c’est Dieu qui le pousse ».
Ce fut pendant l’horreur d’une profonde nuit
Un virus tout nouveau vint nous faire des ennuis
La bestiole de couronne est plaisamment parée
Mais elle est si petite qu’elle ne s’est pas montrée
En squattant les cellules avec rapidité
Elle détruit peu à peu les fragiles santés
Et comme on connaît mal ses homicides usages
On ne sait pas parer ses terribles outrages
Soudain à la radio, la télé maintes voix
S’en vienne pérorer pour se donner du poids
Et le peuple tombant dans leurs mains redoutables
Frémit devant la peur de maux épouvantables
Certains sots proférant qu’il faudrait se baisser
Pour trouver le remède sachant tout apaiser
De solutions bizarres inventent le mélange
L’état désorienté pédale dans la fange.
Faisons qu’avec sagesse dans ce contexte affreux
Les savants aboutissent , les cons se bouffent entre eux.
Covid unique objet de mon ressentiment
Covid qui assassine irrémédiablement
Covid qu’il faut occire pour exister encore
D’une vive agonie causée par l’anticorps.
Puissent tous les savants venir nous rassurer
En trouvant le remède par la vie désiré
Et que se taisent enfin les hordes d’abrutis
Qui parlent sans savoir de la pathologie
Que des actifs discrets mais pourtant efficaces
Viennent faire reculer la mortelle menace
Que l’on ne se soucie des montagnes ou des mers
Pour soigner au plus tôt notre triste univers
Que tous ceux qui refusent la muraille du masque
Se trouvent sanctionnés de fiscale bourrasque
Et que le dieu des cons les rendent silencieux
Les discours d’ignorants sont mots pernicieux
Il faudra bien qu’un jour vienne tombe la foudre
Sur ceux qui a nos yeux aiment lancer la poudre
Laissons le temps agir sans pousser des soupirs
Donnons à la science de trouver le loisir.
Et comme l’a dit Prévert dont le style ne s’émousse
« l’homme est dans la brouette et c’est Dieu qui le pousse ».