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La lune se lève et traçe son chemin,
Sur la brume éthérée qui s'étend, sans fin,
Calliopé, muse inspirante, guide mes pas,
Dans ce silence vibrant, où tout est las.
Une brise légère caresse ma peau,
Et l'orbe lumineux dessine mes mots,
Élégie d'un temps qui n'est plus,
Où l'amour se perd, loin des embruns, sonne l'angelus.
Une note s'envole de ce grand coeur qui bat,
Écoutant les échos comme le vent sur la mer,
Carressant de douceur, je n'écoute que toi,
Comme un rêve glissant, je rejoins tes chimères.
Tu m'emportes et me prends, tu me mets comme à nue,
Un éclat de soupir me berçant, dérivant,
Attentive à tes mots, je me sens moins perdue,
Calliopé, tu m'entraines comme un songe savant.
Sur la brume éthérée qui s'étend, sans fin,
Calliopé, muse inspirante, guide mes pas,
Dans ce silence vibrant, où tout est las.
Une brise légère caresse ma peau,
Et l'orbe lumineux dessine mes mots,
Élégie d'un temps qui n'est plus,
Où l'amour se perd, loin des embruns, sonne l'angelus.
Une note s'envole de ce grand coeur qui bat,
Écoutant les échos comme le vent sur la mer,
Carressant de douceur, je n'écoute que toi,
Comme un rêve glissant, je rejoins tes chimères.
Tu m'emportes et me prends, tu me mets comme à nue,
Un éclat de soupir me berçant, dérivant,
Attentive à tes mots, je me sens moins perdue,
Calliopé, tu m'entraines comme un songe savant.
