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Dès le potron miaou !
J’avoue que le soleil m’enchante
C’est un brasero d’amitié
Dès qu’il amorce sa descente
Je suis sujet à l’anxiété.
On dit que ma crainte est futile
Qu’il revient aussi bien qu’il part
Que la nuit est l’espace utile
Auquel les rêves prennent part
La nuit n’est pas une mort lente
De l’astre qui nous éblouit
Ce n’est qu’une danse savante
Des planètes dans l’infini.
Et de songer à ces merveilles
Qui me viennent bercer le cœur
Troubler mon esprit qui sommeille
Imaginant mille douceurs
j’attends reclus dans son absence
Que l’astre fasse enfin le jour
Pour imaginer l’indécence
De votre lever sans atours
Il suffirait que quelques roses
Soient mon offrande du matin
Pour que Phébus me propose
De venir baiser votre main.
J’avoue que le soleil m’enchante
C’est un brasero d’amitié
Dès qu’il amorce sa descente
Je suis sujet à l’anxiété.
On dit que ma crainte est futile
Qu’il revient aussi bien qu’il part
Que la nuit est l’espace utile
Auquel les rêves prennent part
La nuit n’est pas une mort lente
De l’astre qui nous éblouit
Ce n’est qu’une danse savante
Des planètes dans l’infini.
Et de songer à ces merveilles
Qui me viennent bercer le cœur
Troubler mon esprit qui sommeille
Imaginant mille douceurs
j’attends reclus dans son absence
Que l’astre fasse enfin le jour
Pour imaginer l’indécence
De votre lever sans atours
Il suffirait que quelques roses
Soient mon offrande du matin
Pour que Phébus me propose
De venir baiser votre main.