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- SIX-FOURS LES PLAGES
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Tu me disais , des je t’aime, jamais on ne se quittera,
Tu étais toujours là, à rire, à chanter, à m’aimer,
Tu étais le pilier, de notre maison si chère,
Le roi de notre « PERRINVILLIERE »
J’adorais cette lueur dans tes si beaux yeux verts,
Cet accent plein de soleil et ce bagout sans pareil
J’aimais tout en toi, ton corps, ton cœur, ton âme !
Nos soirées entre amis à faire et à défaire le monde
Nos crises de fou-rires, tes idées si géniales,
J’aimais te voir cuisiner, peaufiner tes plats,
T’appliquer à réaliser le plus beau des desserts,
Pour l’anniversaire de Vincent Sacha, Paul ou Pierre…
En fait, j’aimais tout en Toi, ce petit grain de folie
Tes doux silences ,ou parfois tu t’égarais
Ces ronchonnements, que tu voulais cacher,
Et ces regards chargés de tout l’amour du monde
Que tu ne pouvais t’empêcher de m’envoyer…
Comment survivre à tout ce manque ?
Comment vivre sans toi à mes côtés ?
Toi l’homme de ma vie, que je n’ai cessé d’aimer…
On s’était promis de ne jamais se séparer,
La mort, de ton corps s’est emparée
Et je n’ai rien pu faire, pour l’en empêcher !
Ce 25 septembre 2020, ma vie s’est figée !
G.PERRIN
Tu étais toujours là, à rire, à chanter, à m’aimer,
Tu étais le pilier, de notre maison si chère,
Le roi de notre « PERRINVILLIERE »
J’adorais cette lueur dans tes si beaux yeux verts,
Cet accent plein de soleil et ce bagout sans pareil
J’aimais tout en toi, ton corps, ton cœur, ton âme !
Nos soirées entre amis à faire et à défaire le monde
Nos crises de fou-rires, tes idées si géniales,
J’aimais te voir cuisiner, peaufiner tes plats,
T’appliquer à réaliser le plus beau des desserts,
Pour l’anniversaire de Vincent Sacha, Paul ou Pierre…
En fait, j’aimais tout en Toi, ce petit grain de folie
Tes doux silences ,ou parfois tu t’égarais
Ces ronchonnements, que tu voulais cacher,
Et ces regards chargés de tout l’amour du monde
Que tu ne pouvais t’empêcher de m’envoyer…
Comment survivre à tout ce manque ?
Comment vivre sans toi à mes côtés ?
Toi l’homme de ma vie, que je n’ai cessé d’aimer…
On s’était promis de ne jamais se séparer,
La mort, de ton corps s’est emparée
Et je n’ai rien pu faire, pour l’en empêcher !
Ce 25 septembre 2020, ma vie s’est figée !
G.PERRIN
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