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Il faut bien au départ que le secret se montre...
Quand je rencontre Armande
Dans l’ascenseur je bande
Je cache de mon mieux
Mon état capricieux
Mais la dame voit bien
Mon curieux maintien
Et me dit je devine
Votre audace coquine.
Cet ascenseur n’a rien
Qui se prête assez bien
À des jeux permettant
L’acte décontractant
Venez prendre le thé
En toute intimité
Mon ami est absent
Il n’est pas très puissant.
Aussi votre jeunesse
Dont l’énergie se dresse
Pourrait par son ardeur
Compléter sa langueur
J’offrirai en retour
Quelques leçons d’amour
ignorer les caresses
Détériore l’ivresse.
Les heures britanniques
Devenant érotiques
J’appris de dame Armande
Les préfaces gourmandes
Et maintes voluptés
Remplacèrent le thé
Puis ce fut la capture
De ma jeune nature .
Or le ravissement
Devenant sentiment
Je devins fanatique
Du thé systématique
D’Armande préceptrice
Je fis tous les caprices.
Pour un événement
S’absentant longuement
Armande loin de tout
Cessa ses rendez-vous
Je m’ennuyais un peu
Sans compagne de jeu
J’allais chez Caroline
Une aimable voisine
Qui sans perdre de temps
Comprit mon dénuement
Et voulut tout de suite
Connaître mes mérites.
J’avais aux doux préludes
Une belle aptitude
Et la dame ravie
Fit bisser son envie
Puis en étant gourmande
En tripla sa demande.
Je découvris alors
Qu’il suffit pour l’accord
De se montrer aimable
À dame désirable
Que le plaisir humain
Vient de désirs communs.
Lors profitant des fois
De partagés émois
Je n’eus plus d’insistance
Que pour des attirances
D’une même qualité
La réciprocité.
Quand je rencontre Armande
Dans l’ascenseur je bande
Je cache de mon mieux
Mon état capricieux
Mais la dame voit bien
Mon curieux maintien
Et me dit je devine
Votre audace coquine.
Cet ascenseur n’a rien
Qui se prête assez bien
À des jeux permettant
L’acte décontractant
Venez prendre le thé
En toute intimité
Mon ami est absent
Il n’est pas très puissant.
Aussi votre jeunesse
Dont l’énergie se dresse
Pourrait par son ardeur
Compléter sa langueur
J’offrirai en retour
Quelques leçons d’amour
ignorer les caresses
Détériore l’ivresse.
Les heures britanniques
Devenant érotiques
J’appris de dame Armande
Les préfaces gourmandes
Et maintes voluptés
Remplacèrent le thé
Puis ce fut la capture
De ma jeune nature .
Or le ravissement
Devenant sentiment
Je devins fanatique
Du thé systématique
D’Armande préceptrice
Je fis tous les caprices.
Pour un événement
S’absentant longuement
Armande loin de tout
Cessa ses rendez-vous
Je m’ennuyais un peu
Sans compagne de jeu
J’allais chez Caroline
Une aimable voisine
Qui sans perdre de temps
Comprit mon dénuement
Et voulut tout de suite
Connaître mes mérites.
J’avais aux doux préludes
Une belle aptitude
Et la dame ravie
Fit bisser son envie
Puis en étant gourmande
En tripla sa demande.
Je découvris alors
Qu’il suffit pour l’accord
De se montrer aimable
À dame désirable
Que le plaisir humain
Vient de désirs communs.
Lors profitant des fois
De partagés émois
Je n’eus plus d’insistance
Que pour des attirances
D’une même qualité
La réciprocité.
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