Hors ligne
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J'ai vu le vent souffler
Et tes yeux se fermer
Comme une voile gonflée
Toutes tes larmes couler
J'ai rêvé de mes pensées
Tatouées sur ta peau
Du doux sillage d'un bateaux
S'en allant sur les eaux
J'ai parcouru ta peau, tel un tableau
Caressé des yeux, ce beau Picasso
Une toile vivante, sur peau charnelle
Aux odeurs d'atelier et de canette
Je touché ta peau du bout de mes doigts
Je sens des frissons envahir ta voix
J'ai gravé mes mots dans le ciel
Pour qu'ils restent éternels
A la douceur de ta peau sensuelle
Mes rêves les plus cruels
Donne-moi la liberté
De mes rêves fantasmés
L'ivresse nocturne assurée
De mes songes capturés
Sur cette page blanche, que je ne veux laisser vierge
Je laisse l’encre de ma plume et les mots doux que ma pensée héberge
Je ne cesse sans cesse de penser à la douceur d’une peau
Je ne cesse sans cesse de toucher les rêves trop hauts
Je veux avec tendresse, me coucher sur ta peau
Ton étendard comme un drapeau
Mes yeux fermés, nu sur le plancher
La chaleur boisée, de la cheminée
Fermer mes lèvres sur ce bout de sein
Sentir sa rondeur en pleine main
Le couvrir de mille baisers
Et au lendemain en rêver
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(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
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J'ai vu le vent souffler
Et tes yeux se fermer
Comme une voile gonflée
Toutes tes larmes couler
J'ai rêvé de mes pensées
Tatouées sur ta peau
Du doux sillage d'un bateaux
S'en allant sur les eaux
J'ai parcouru ta peau, tel un tableau
Caressé des yeux, ce beau Picasso
Une toile vivante, sur peau charnelle
Aux odeurs d'atelier et de canette
Je touché ta peau du bout de mes doigts
Je sens des frissons envahir ta voix
J'ai gravé mes mots dans le ciel
Pour qu'ils restent éternels
A la douceur de ta peau sensuelle
Mes rêves les plus cruels
Donne-moi la liberté
De mes rêves fantasmés
L'ivresse nocturne assurée
De mes songes capturés
Sur cette page blanche, que je ne veux laisser vierge
Je laisse l’encre de ma plume et les mots doux que ma pensée héberge
Je ne cesse sans cesse de penser à la douceur d’une peau
Je ne cesse sans cesse de toucher les rêves trop hauts
Je veux avec tendresse, me coucher sur ta peau
Ton étendard comme un drapeau
Mes yeux fermés, nu sur le plancher
La chaleur boisée, de la cheminée
Fermer mes lèvres sur ce bout de sein
Sentir sa rondeur en pleine main
Le couvrir de mille baisers
Et au lendemain en rêver
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