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J'aimerais pourtant sangloter sur ses seins M'accrocher à sa peau pour la consoler Je la désire mais j'attends le droit d'exister Et que cesse ces allées venues de ces vauriens
Ce va et vient d'hommes qui marchent sur elle Et l’emmène au pied de l'autel de l'agnelle Ces cuisses flasques aux regards révulsés Lui arracher des cris qui la font trembler
Ce va et vient qui jamais ne se réduit Comme autant de coups d'une quête impossible De cette envie de posséder la beauté indicible Cruelles promesses sordides d'une autre vie
Ces peaux qui claquent dans l'entre jambes De cette douleur qui dort au fond de ses reins Ces crachats nauséabonds de dithyrambes J'aimerais pourtant la serrer dans mes mains...
une belle poésie qui invite au débat sur un sujet bien délicat.
je dirai que l'homme doit apprendre a aimer la femme pour ce qu'elle est et non plus pour ce qu'il veut qu'elle soit.
avant que nous portions un jugement sur cette femme
apprenons aussi a être indulgents, compréhensifs, tolérants et bienveillant a l’égard de l'esprit.
amitiés
une belle poésie qui invite au débat sur un sujet bien délicat.
je dirai que l'homme doit apprendre a aimer la femme pour ce qu'elle est et non plus pour ce qu'il veut qu'elle soit.
avant que nous portions un jugement sur cette femme
apprenons aussi a être indulgents, compréhensifs, tolérants et bienveillant a l’égard de l'esprit.
amitiés
Merci pour le dépoussiérage....
Je pense que ton analyse est tout à fait exacte.....et cependant, malgré la libéralisation de la femme, la maltraitance de la femme va croissant !!
J'aimerais pourtant sangloter sur ses seins M'accrocher à sa peau pour la consoler Je la désire mais j'attends le droit d'exister Et que cesse ces allées venues de ces vauriens
Ce va et vient d'hommes qui marchent sur elle Et l’emmène au pied de l'autel de l'agnelle Ces cuisses flasques aux regards révulsés Lui arracher des cris qui la font trembler
Ce va et vient qui jamais ne se réduit Comme autant de coups d'une quête impossible De cette envie de posséder la beauté indicible Cruelles promesses sordides d'une autre vie
Ces peaux qui claquent dans l'entre jambes De cette douleur qui dort au fond de ses reins Ces crachats nauséabonds de dithyrambes J'aimerais pourtant la serrer dans mes mains...
Je viens de relire ce "beau" Poème !
Touchant, émouvant dont on ne peut rester de marbre !
Merci a toi pour ce partage !
Amitiés
Perceval
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