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Mon corps tremble et chancelle
Sous le poids lourd de l’ennui
Chaque souffle est une querelle
Avec ce mal qui me nuit.
La fièvre brûle mes veines
Comme un feu ardent et sournois
Dans la douleur incertaine
Je cherche un répit, un pourquoi.
Mes jours se fondent en nuits
Dans un tourbillon languissant
Chaque heure, un ennemi
Dans ce combat harassant.
Le silence est mon compagnon
Dans cette lutte sans voix
Le temps, cruel champion
Ne m’accorde aucun choix.
Les journées passent sans fin
Un défilé monotone et gris
Chaque instant, un pas de plus
Vers l’abîme de l’ennui.
Les rêves deviennent chimères
Dans un sommeil sans repos
Le temps, un spectre amer
Se moque de mes maux.
Au fond de mon être las
Une flamme lutte encore.
Un espoir que rien n’efface
Un désir de renouveau éclore.
Car la vie, malgré la peine
Est un chant, une symphonie
Même au cœur de la haine
Il y a toujours une harmonie.
Fouzia El Mellah
Sous le poids lourd de l’ennui
Chaque souffle est une querelle
Avec ce mal qui me nuit.
La fièvre brûle mes veines
Comme un feu ardent et sournois
Dans la douleur incertaine
Je cherche un répit, un pourquoi.
Mes jours se fondent en nuits
Dans un tourbillon languissant
Chaque heure, un ennemi
Dans ce combat harassant.
Le silence est mon compagnon
Dans cette lutte sans voix
Le temps, cruel champion
Ne m’accorde aucun choix.
Les journées passent sans fin
Un défilé monotone et gris
Chaque instant, un pas de plus
Vers l’abîme de l’ennui.
Les rêves deviennent chimères
Dans un sommeil sans repos
Le temps, un spectre amer
Se moque de mes maux.
Au fond de mon être las
Une flamme lutte encore.
Un espoir que rien n’efface
Un désir de renouveau éclore.
Car la vie, malgré la peine
Est un chant, une symphonie
Même au cœur de la haine
Il y a toujours une harmonie.
Fouzia El Mellah
