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L'absence de tendresse annihile la muse,
Du poète acculé au mur du désespoir.
Son calame caresse un feuillet blanc d'espoir,
En larme acidulée d'une douleur abstruse.
Il rêve à une amour, dont Cupidon s'amuse,
Sur le parcours fléché d'un coeur qui broie du noir.
Le triste troubadour fait les fonds de tiroir,
Des souvenirs léchés d'un bonheur qu'il récuse.
Il se raccroche alors à l'amante d'un soir,
Qu'il croit aimer encore et dont il voudrait seoir,
Un prochain rendez-vous... De lui-même il s'abuse !
Blessé dans son orgueil, il comble par la soif,
Presqu'à tourner de l'œil, le mal dont il se coiffe,
Se prosterne à genoux, proférant mille excuses...
28 décembre 2021
Du poète acculé au mur du désespoir.
Son calame caresse un feuillet blanc d'espoir,
En larme acidulée d'une douleur abstruse.
Il rêve à une amour, dont Cupidon s'amuse,
Sur le parcours fléché d'un coeur qui broie du noir.
Le triste troubadour fait les fonds de tiroir,
Des souvenirs léchés d'un bonheur qu'il récuse.
Il se raccroche alors à l'amante d'un soir,
Qu'il croit aimer encore et dont il voudrait seoir,
Un prochain rendez-vous... De lui-même il s'abuse !
Blessé dans son orgueil, il comble par la soif,
Presqu'à tourner de l'œil, le mal dont il se coiffe,
Se prosterne à genoux, proférant mille excuses...
28 décembre 2021