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Le serment d’Hippocrite
[ Texte à l'étude chez les politiciens en 2020]
Au moment d’être admis au monde politique
Je promets et je jure sur l’honneur théorique
De dire la vérité lorsque cela m’arrange
Ou de baratiner si le vrai me dérange.
J’apprendrai tous les mots qui noyant le poisson
Roulent tous les votants dans la contre-façon.
Et de langue de bois je ferai des discours
Sans jamais dévoiler si je suis contre ou pour.
Et si quelque malheur menace le pays
j’irai prendre la science pour servir d’alibi.
Et n’avouant jamais mon ignorant bagout
Je dirai tout savoir ne sachant rien du tout
Donnant de l’importance à la moindre vétille
J’entretiendrai ce qui génère des bisbilles
S’il vient à dominer une tête capable
Je lui ferai porter un bât désagréable
j’irai prendre la science pour servir d’alibi.
Et n’avouant jamais mon ignorant bagout
Je dirai tout savoir ne sachant rien du tout
Donnant de l’importance à la moindre vétille
J’entretiendrai ce qui génère des bisbilles
S’il vient à dominer une tête capable
Je lui ferai porter un bât désagréable
Et je l’égarerai en multiples détours
Pour qu’il ne montre pas tous les sots qui l’entoure.
Et comme les volants sont des veaux légendaires
Je ne chercherai pas à régler les affaires
Leur dire la vérité en mots clairs simplement
Serait perdre la face irrémédiablement.
Et restant à l’abri sans me bouger les fesses
Pourquoi dont travailler quand paye la paresse
Pour qu’il ne montre pas tous les sots qui l’entoure.
Et comme les volants sont des veaux légendaires
Je ne chercherai pas à régler les affaires
Leur dire la vérité en mots clairs simplement
Serait perdre la face irrémédiablement.
Et restant à l’abri sans me bouger les fesses
Pourquoi dont travailler quand paye la paresse
Car on risque beaucoup à faire quelque chose
Si jamais l’insuccès à la foule s’impose
L’électeur est dit on un animal vicieux
Il en a marre des nuls le rendant malheureux
Il viendra bien un jour ou faisant le bilan
le peuple aux efficaces sera plus vigilant.
Et séparant l’’utile de l’intriguant minable
Un grand ménage rendra le pouvoir agréable.
Si jamais l’insuccès à la foule s’impose
L’électeur est dit on un animal vicieux
Il en a marre des nuls le rendant malheureux
Il viendra bien un jour ou faisant le bilan
le peuple aux efficaces sera plus vigilant.
Et séparant l’’utile de l’intriguant minable
Un grand ménage rendra le pouvoir agréable.
Que le virus sournois que certains minimisent
éloigne les bavards dont le discours épuise.
éloigne les bavards dont le discours épuise.
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