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écho n°2 au sonnet de Sylvia De Llamby :
à partir de ces deux vers...
<< La lumière a repris son visage en couleur...
Les corps en coquillages au silence de nacre >>
Le triomphe d'un pouvoir tyrannique
La lumière a repris son visage en couleur,
Et le soleil ravi vient réchauffer le cœur,
Partout autour de moi la nature bourgeonne,
Le printemps est bien là sans besoin de personne,
Confiné dans son trou, l'humain sent la douleur,
De la nature offerte à son enfant de chœur,
Croit-il en sa perte ? sa tête déraisonne,
Il ne voit que des fous que l’égoïsme sonne...
Les corps en coquillage au silence de nacre,
Fossilisent à tort tout le temps qu'ils consacrent,
Devant tout un battage d'infos médiatiques.
Faut-il que l'on ait peur de ce fléau mortel,
Pour qu'on nous prive encor de sortie _ Ô bordel ! _
On nous prive en douceur de certains droits civiques.
25 mars 2020
à partir de ces deux vers...
<< La lumière a repris son visage en couleur...
Les corps en coquillages au silence de nacre >>
Le triomphe d'un pouvoir tyrannique
La lumière a repris son visage en couleur,
Et le soleil ravi vient réchauffer le cœur,
Partout autour de moi la nature bourgeonne,
Le printemps est bien là sans besoin de personne,
Confiné dans son trou, l'humain sent la douleur,
De la nature offerte à son enfant de chœur,
Croit-il en sa perte ? sa tête déraisonne,
Il ne voit que des fous que l’égoïsme sonne...
Les corps en coquillage au silence de nacre,
Fossilisent à tort tout le temps qu'ils consacrent,
Devant tout un battage d'infos médiatiques.
Faut-il que l'on ait peur de ce fléau mortel,
Pour qu'on nous prive encor de sortie _ Ô bordel ! _
On nous prive en douceur de certains droits civiques.
25 mars 2020