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Un ‘’deux’’ d’un février en l’an deux mille deux
Maman nous fit adieu laissant sa place vide
Le jour était bien gris et fit des plus hideux
Jamais plus la revoir pour un amour avide.
Le jour s’est tu déjà quand elle a bien quitté
Souvent me recueillis juste au seuil de sa tombe
Et d'un remord en moi qui tant m'a habité
Récite des versets et de folie succombe.
Adieu le bon vieux temps où l'amour était grand
A ces vieux grands-parents aux souvenirs que j'aime
Jamais auparavant je n'étais assez franc
Pour avouer que le leur était à l'extrême.
Adieu aux jours passés mais pas aux souvenirs
Nombreux qu'ils ont laissés et que je commémore
En quelques pleurs souvent loin de mes devenirs
Conservant des portraits les meilleurs que j'adore.
Grossier est le destin parfois est plus méchant
Il nous surprend dès fois en son très mauvais sort
Je sais que par moment il n’est pas alléchant
Pour tout récupérer de notre bon essor.
Ahmed B. Le 01.02.2021.