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Indiscrète, la lune de son œil admire,
Jalousement , l’alcôve où ce corps à ravir,
Respire, se meuve langoureusement et repose,
Dans la soie et satin, le musc le parcourt , ose,
Caresser cette nymphe aux yeux d’émeraude,
Aux lèvres de rubis, rutilantes et chaudes.
Ajoutant à son sommeil puéril plus d’innocence,
Miroitant sous sa lueur, ses cheveux pleins de jouvence.
Orne son visage d’une auréole de déesse,
Où rêves et souris se mêlent à la paresse,
De sa sculpture si harmonieuse et sensuelle,
Ses lignes fines et gracieuses de pucelle.
Sous sa gangue bleue satinée, se devinent,
Ses courbes, ses formes parfaitement modelées,
Cette belle chair, si fraîche, cette peau fine,
Convoitée par tous les souverains et roitelets.
Mes rimes restent au bout de son bras suspendues,
Tel un condamné, qui sur l’échafaud est pendu,
Tout d’elle d’une altesse, s’exhale,
Planent douceurs et parfumeries orientales.
Mon cœur est bien épris par cette mollassonne,
Que la nature a gâté, comme personne,
Ne sauront d’écrire tous les mots d’aèdes, et vers,
Celle qui habite mon cœur été comme hiver.
Ô! Lune de grâce, ne trouble pas son sommeil,
Seul le soleil, de ses doux rayons, est son réveil,
Ne jalouse point, mon adorable dormeuse,
même dans sa petite mort est bien heureuse.
troubadour © copyright
Caresser cette nymphe aux yeux d’émeraude,
Aux lèvres de rubis, rutilantes et chaudes.
Jalousement , l’alcôve où ce corps à ravir,
Respire, se meuve langoureusement et repose,
Dans la soie et satin, le musc le parcourt , ose,
Caresser cette nymphe aux yeux d’émeraude,
Aux lèvres de rubis, rutilantes et chaudes.
Ajoutant à son sommeil puéril plus d’innocence,
Miroitant sous sa lueur, ses cheveux pleins de jouvence.
Orne son visage d’une auréole de déesse,
Où rêves et souris se mêlent à la paresse,
De sa sculpture si harmonieuse et sensuelle,
Ses lignes fines et gracieuses de pucelle.
Sous sa gangue bleue satinée, se devinent,
Ses courbes, ses formes parfaitement modelées,
Cette belle chair, si fraîche, cette peau fine,
Convoitée par tous les souverains et roitelets.
Mes rimes restent au bout de son bras suspendues,
Tel un condamné, qui sur l’échafaud est pendu,
Tout d’elle d’une altesse, s’exhale,
Planent douceurs et parfumeries orientales.
Mon cœur est bien épris par cette mollassonne,
Que la nature a gâté, comme personne,
Ne sauront d’écrire tous les mots d’aèdes, et vers,
Celle qui habite mon cœur été comme hiver.
Ô! Lune de grâce, ne trouble pas son sommeil,
Seul le soleil, de ses doux rayons, est son réveil,
Ne jalouse point, mon adorable dormeuse,
même dans sa petite mort est bien heureuse.
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Caresser cette nymphe aux yeux d’émeraude,
Aux lèvres de rubis, rutilantes et chaudes.
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