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Madame dont la plume est, à tort, si lointaine !
Je dois vous avouer que je suis nostalgique
J’ai subi de vos charmes les délicieux pouvoirs
J’en eus le cœur troublé mais n’ai plus que l’espoir
D’un amour qui hélas restera platonique.
J’ai tenté quelques vers aux accents romantiques
Des mots que l’on dit mieux quand s’approche le soir
Des frôlements servant de secret épanchoir
Où vint se déverser mon spleen mélancolique
Si déguster vos rimes était un grand bonheur
D’y répondre troublé me réchauffait le cœur
Et j’osais quelques fois de sensuelles images
Pour espérer en vous un feu correspondant
À celui qui en moi faisait quelques ravages
Quand j’osais de vos songes être le confident.
Frôlant quelques audaces qui affectent l’envie
Nous rimions en secret sur diverses ardeurs
Même anodins les mots avaient de la chaleur
Je voulais qu’en lisant vous en soyez ravie.
Aviez vous quelques songes de joies inassouvies
Quand mon esprit cherchait dans l’abstrait le bonheur
Fallait-t-il insister froisser votre pudeur
En peignant des folies au désir asservies
L’écriture nous liait les cœurs étaient lointains
Mais malgré la distance l’attrait était certain
Le hasard bien souvent contrarie l’attirance
Et ne pensant qu’à vous dès le lever du jour
j’étais ce militant aux amoureuses errances
Platonique victime enchaînée par l’amour.
Je dois vous avouer que je suis nostalgique
J’ai subi de vos charmes les délicieux pouvoirs
J’en eus le cœur troublé mais n’ai plus que l’espoir
D’un amour qui hélas restera platonique.
J’ai tenté quelques vers aux accents romantiques
Des mots que l’on dit mieux quand s’approche le soir
Des frôlements servant de secret épanchoir
Où vint se déverser mon spleen mélancolique
Si déguster vos rimes était un grand bonheur
D’y répondre troublé me réchauffait le cœur
Et j’osais quelques fois de sensuelles images
Pour espérer en vous un feu correspondant
À celui qui en moi faisait quelques ravages
Quand j’osais de vos songes être le confident.
Frôlant quelques audaces qui affectent l’envie
Nous rimions en secret sur diverses ardeurs
Même anodins les mots avaient de la chaleur
Je voulais qu’en lisant vous en soyez ravie.
Aviez vous quelques songes de joies inassouvies
Quand mon esprit cherchait dans l’abstrait le bonheur
Fallait-t-il insister froisser votre pudeur
En peignant des folies au désir asservies
L’écriture nous liait les cœurs étaient lointains
Mais malgré la distance l’attrait était certain
Le hasard bien souvent contrarie l’attirance
Et ne pensant qu’à vous dès le lever du jour
j’étais ce militant aux amoureuses errances
Platonique victime enchaînée par l’amour.