- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,307
- J'aime
- 5,856
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
En ligne
Mais si, madame , Monsieur, ici je vous l'assure
les virus, c'est connu ont une littérature
Anaphore état-elle une amie de Camille
Covid l’unique objet de vos débordements
Covid qui dans la presse devient un monument
Covid dont les média nous gonflent les amphores
Covid sujet de sot qui ardemment pérore,
Puisse la mutité frapper tous les trompeurs
Qui souvent ignorants essaient de nous faire peur
Que les savants esprits qui sans cesse étudient
Analysent en silence la triste pandémie
Que la science enfin éloignée des pervers
Puisse se consacrer à son noble univers.
Qu’au virus assassin on livre une bataille
Qu’en attendant le masque soit son épouvantail
Qu’il n’y ait plus sur terre d’obstacles fallacieux
À la saine recherche désirant notre mieux
Que les média cessant de promettre la foudre
Ne puissent plus aux yeux nous jeter de la poudre.
Qu’une juste sagesse fasse enfin déguerpir
Les lécheurs de micro ne sachant que glapir.
Covid qui dans la presse devient un monument
Covid dont les média nous gonflent les amphores
Covid sujet de sot qui ardemment pérore,
Puisse la mutité frapper tous les trompeurs
Qui souvent ignorants essaient de nous faire peur
Que les savants esprits qui sans cesse étudient
Analysent en silence la triste pandémie
Que la science enfin éloignée des pervers
Puisse se consacrer à son noble univers.
Qu’au virus assassin on livre une bataille
Qu’en attendant le masque soit son épouvantail
Qu’il n’y ait plus sur terre d’obstacles fallacieux
À la saine recherche désirant notre mieux
Que les média cessant de promettre la foudre
Ne puissent plus aux yeux nous jeter de la poudre.
Qu’une juste sagesse fasse enfin déguerpir
Les lécheurs de micro ne sachant que glapir.
La Virale conquête
Chaque soir, contournant les mesures aseptiques
La bête répandait ses humeurs maléfiques
Sur les humains craignant d’en être le festin
Et confinés , bardés de contraintes nouvelles
Ils subissaient la loi qu'impose le destin
En se masquant le nez d’aseptiques dentelles
La bête répandait ses humeurs maléfiques
Sur les humains craignant d’en être le festin
Et confinés , bardés de contraintes nouvelles
Ils subissaient la loi qu'impose le destin
En se masquant le nez d’aseptiques dentelles