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Mon amour, mon ailleurs

Corsaire

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#21
C'est surtout toi, ami Corsaire qui me touche beaucoup ...
Je n'arrive pas à m'expliquer le pourquoi de la vision qui me revient toujours : on dirait qu'elle reste imprimée sur mon front .
Peut-être est-ce la magie de ton écriture ? Oui ! Je crois !

Bien à toi

Rose *** attentive
Ou la magie de la personne qui la reçoit ? La poésie est aussi cela, Rose. Mais comme des enfants, nous jouons avec des mots. Le reste n'est que correspondances ou synchronicités... Sourire.
 

o

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#22
Ou la magie de la personne qui la reçoit ? La poésie est aussi cela, Rose. Mais comme des enfants, nous jouons avec des mots. Le reste n'est que correspondances ou synchronicités... Sourire.
Oh ! Tu me fais sourire, cher Corsaire ... disons alors, tout simplement, qu'il s'agit en effet de correspondance ...

Bien à toi

Rose ***
 

EricB

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#24
Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
Très beau poème Corsaire...on voit que vous y avez beaucoup travaillé pour ciseler...
C'est Rose qui m'a parlé de vous, elle a raison vous avez bien du talent.
Amicalement
Eric
 

astree84

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#25
Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
L'amour rend toujours le monde plus beau, ouvrir son coeur permet au bonheur de s'y installer, au soleil de brûler les chagrins, au vent d'emporter au loin leur cendres, quand au rire, il les transforment en perles de diamant, qui cascadent à travers l'univers!
 

Corsaire

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#26
Très beau poème Corsaire...on voit que vous y avez beaucoup travaillé pour ciseler...
C'est Rose qui m'a parlé de vous, elle a raison vous avez bien du talent.
Amicalement
Eric
Bonsoir EricB, je vous remercie d'être passé me lire. Je viendrai vous lire avec plaisir quand je pourrai me poser un peu et retrouver l'essentiel : la poésie.
 

CLARI

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#27
J'ai bu tes mots qui sont une source rafraîchissante, et j'ai adoré par-dessus tout le dernier quatrain :

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents


SUBLIME
 

Corsaire

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#28
L'amour rend toujours le monde plus beau, ouvrir son coeur permet au bonheur de s'y installer, au soleil de brûler les chagrins, au vent d'emporter au loin leur cendres, quand au rire, il les transforment en perles de diamant, qui cascadent à travers l'univers!
C'est juste Astree84. Merci pour ce regard.
 

Victoria5983

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#29
Mon amour, mon ailleurs


Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
absolument magnifique j'ai lu et relu et j'adore le romantisme de ces vers Vic
 

RougePivoine

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#30
Mon amour, mon ailleurs


Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
Quelle sensibilité !
J'aime chaque ver
Merci pour ce partage
 
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#31
joli jour mon ami !

Et je remonte ce poème bouleversant

Bien à toi

Rose *
 
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#32
Mon amour, mon ailleurs


Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
Voilà une double surprise la première de te retrouver sur jepoemes la seconde la beauté d'un poème digne du nom de poème et j'aime ta sagesse.
De beaux alexandrins et un rythme que tu sais maîtriser.

Bien à toi mon ami corsaire,

J. Lou


Ps on pourrait se retrouver si le cœur t'en dit en MP.
 

Corsaire

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#33
L'amour rend toujours le monde plus beau, ouvrir son coeur permet au bonheur de s'y installer, au soleil de brûler les chagrins, au vent d'emporter au loin leur cendres, quand au rire, il les transforment en perles de diamant, qui cascadent à travers l'univers!
J'ai bu tes mots qui sont une source rafraîchissante, et j'ai adoré par-dessus tout le dernier quatrain :

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents


SUBLIME
Merci Clari d'avoir étanché ta soif ici. " L'Amour n'a point d'autres désirs que de s'accomplir", écrivait Gibran...
 

Corsaire

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#34
Avec beaucoup de retard, merci à tous, je reviens sur jepoemes après une longue absence. Prenez soin de vous.
 
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#39
Mon amour, mon ailleurs


Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
Bonjour corsaire. Ce poème est une pépite.
Bravo à toi.

Mes amitiés, J. Lou et encore merci pour le partage
 

Chantal

Grand poète
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#40
Mon amour, mon ailleurs


Où es-tu quand le soir est une chambre noire
Mon amour, mon ailleurs, il est des heures creuses
Tant de vaines passions. Je sais ces promenoirs
Où s'attardent l'ennui et ses ombres pleureuses

L'humeur peut inspirer des choses monotones
À ceux qui ont fermé leur cœur à tout bonheur
Sais-tu les airs nouveaux que la brise fredonne
Et qui donnent aux fleurs d'immortelles odeurs

Tout peut être futile à l'être qui sommeille
Dans ses puits intérieurs où la chimère danse
Vois. Les gouttes de pluie autant que le soleil
Font naître du néant la fertile espérance

Mon amour, mon ailleurs, qu'importent les saisons
Le temps fait bien son œuvre, il chasse les tourments
Ton rire étincelant offre à tout horizon
L'intense volupté des levants rubescents
Un très beau poème comme je les aime. 🌹
Merci Corsaire pour votre partage !
Bonne soirée,
Amitié
 
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