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Avant que tu fermes tes portes,
Écoute-moi sans-faute.
Souviens-toi de notre premier jour,
Dans notre jardin irrigué d’amour.
Tu avais le visage d’un enfant
Et ton sourire arrêtait le temps !
Ta main, dans la poche de mon
cœur,
Caressait mes peines et séchait mes
pleurs.
Avant que tu plies tes bagages,
Et que tu prépares ton nouveau voyage ;
Pense à mon premier cadeau,
Quand j’ai bâti pour toi un beau
château,
Sur la plage de nos rêves, un certain
soir.
T’avais donné le plein pouvoir,
De régner sur mon petit cœur ;
Sur tout ce qui était en moi meilleur.
Pourtant, j’avais une larme
d’inquiétude ;
Celle de me réveiller un jour, avec
la certitude
D'écrire ce poème en silence,
Des vers à distance.
J’ai oublié que tu avais des ailes
Et que tu t'envolerais un jour, dans le ciel.
Petit oiseau, rentre chez toi…
.
Serai Hocine.
Écoute-moi sans-faute.
Souviens-toi de notre premier jour,
Dans notre jardin irrigué d’amour.
Tu avais le visage d’un enfant
Et ton sourire arrêtait le temps !
Ta main, dans la poche de mon
cœur,
Caressait mes peines et séchait mes
pleurs.
Avant que tu plies tes bagages,
Et que tu prépares ton nouveau voyage ;
Pense à mon premier cadeau,
Quand j’ai bâti pour toi un beau
château,
Sur la plage de nos rêves, un certain
soir.
T’avais donné le plein pouvoir,
De régner sur mon petit cœur ;
Sur tout ce qui était en moi meilleur.
Pourtant, j’avais une larme
d’inquiétude ;
Celle de me réveiller un jour, avec
la certitude
D'écrire ce poème en silence,
Des vers à distance.
J’ai oublié que tu avais des ailes
Et que tu t'envolerais un jour, dans le ciel.
Petit oiseau, rentre chez toi…
.
Serai Hocine.
