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I-
Dans mes rêves rimbaldiens
Poussant des vers surréalistes
Je vogue et voyage baladin
Vers des mondes idéalistes.
Je pousse les portes des Enfers
J'entends déjà les cris immondes
Et les hurlements d'un triste monde
Que l'on ne peut voir par dessus terre.
Je suis un Orphée cherchant son Eurydice
Comme un poète son inspiration,
Sentant le souffle des conspirations
Dans un monde où n'exalte aucun délice.
-II-
La parole du Christ est évangile
Mais les Evangiles ne sont pas celles du Christ;
Elles ne sont que des bribes de vagues souvenirs
Comme un murmure que l'on voudrait faire cri;
Oubliant pour qui ils voulaient servir,
Ils jouent à de pauvres jeux puérils.
Il a ouvert ses bras en croix par amour
De l'Homme qui les ferme chaque jour.
-III-
Je t'ai perdu de jour en jour
Comme je me perds de temps en temps
Avant de te perdre pour toujours
Je me perdrai amoureusement.
Je serai comme un hiver qui passe
Toi, comme un éternel printemps,
Un vulgaire flocon qui fond et s'efface
Une fleur qui vole dans les firmaments.
Dans mes rêves rimbaldiens
Poussant des vers surréalistes
Je vogue et voyage baladin
Vers des mondes idéalistes.
Je pousse les portes des Enfers
J'entends déjà les cris immondes
Et les hurlements d'un triste monde
Que l'on ne peut voir par dessus terre.
Je suis un Orphée cherchant son Eurydice
Comme un poète son inspiration,
Sentant le souffle des conspirations
Dans un monde où n'exalte aucun délice.
-II-
La parole du Christ est évangile
Mais les Evangiles ne sont pas celles du Christ;
Elles ne sont que des bribes de vagues souvenirs
Comme un murmure que l'on voudrait faire cri;
Oubliant pour qui ils voulaient servir,
Ils jouent à de pauvres jeux puérils.
Il a ouvert ses bras en croix par amour
De l'Homme qui les ferme chaque jour.
-III-
Je t'ai perdu de jour en jour
Comme je me perds de temps en temps
Avant de te perdre pour toujours
Je me perdrai amoureusement.
Je serai comme un hiver qui passe
Toi, comme un éternel printemps,
Un vulgaire flocon qui fond et s'efface
Une fleur qui vole dans les firmaments.