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On n’arrête pas le progrès
Une dame aimant les tournois
Et les chevaliers en armure
Ne pouvait atteindre l’émoi
À cause de l’excès de ferrures.
Car le combattant le plus vif
En démontant sa mécanique
Perdait le désir incisif
Ainsi que l’état priapique.
Un ouvre boite fut conçu
Par la dame imaginative
Et l’on mit dès lors au rebut
Toute ferraille restrictive.
Les ferrailleurs les armuriers
Détestèrent cet état de chose
La perte des habits d’aciers
Rendit leur commerce morose.
Et l’on inventa des habits
Dont la souplesse est bien connue
Sans retard on en est sorti
Se retrouvant vite tout nu
Encor que le bouton parfois
Montre une sotte réticence
Ce qui sur l’immédiate joie
Peut exercer une influence
La descendante de la dame
Qui démoda maintes armures
Dit le bouton nuit au quidam
Qui est avide de luxure
Pour un beau furtif vertical
Il faut simplifier la chose
Le bouton me paraît banal
La fermeture éclair s’impose
On inventa donc la glissière
De l’ouverture c’est l’idéal
Effaçant vite la barrière
Le contact devient optimal
Mais une certaine Charlotte
Dit le textile est dérangeant
Dispensez vous d’une culotte
L’abord devient plus engageant.
On inventa plus lentement
Le progrès dut freiner son onde
Même deux nudistes amants
Ne gagnaient que peu de secondes
Mais l’évolution nuisant
À la logique de l’histoire
La nudité ne suffisant
On inventa des accessoires.
Et les hommes aimant la sottise
Furent à nouveau insatisfaits
Car la sensuelle entreprise
N’est fruit que d’un commun attrait.
Fuyez les fallacieux outils
la nature a le nécessaire
Pour emmener au paradis
Les attirances exemplaires.
Une dame aimant les tournois
Et les chevaliers en armure
Ne pouvait atteindre l’émoi
À cause de l’excès de ferrures.
Car le combattant le plus vif
En démontant sa mécanique
Perdait le désir incisif
Ainsi que l’état priapique.
Un ouvre boite fut conçu
Par la dame imaginative
Et l’on mit dès lors au rebut
Toute ferraille restrictive.
Les ferrailleurs les armuriers
Détestèrent cet état de chose
La perte des habits d’aciers
Rendit leur commerce morose.
Et l’on inventa des habits
Dont la souplesse est bien connue
Sans retard on en est sorti
Se retrouvant vite tout nu
Encor que le bouton parfois
Montre une sotte réticence
Ce qui sur l’immédiate joie
Peut exercer une influence
La descendante de la dame
Qui démoda maintes armures
Dit le bouton nuit au quidam
Qui est avide de luxure
Pour un beau furtif vertical
Il faut simplifier la chose
Le bouton me paraît banal
La fermeture éclair s’impose
On inventa donc la glissière
De l’ouverture c’est l’idéal
Effaçant vite la barrière
Le contact devient optimal
Mais une certaine Charlotte
Dit le textile est dérangeant
Dispensez vous d’une culotte
L’abord devient plus engageant.
On inventa plus lentement
Le progrès dut freiner son onde
Même deux nudistes amants
Ne gagnaient que peu de secondes
Mais l’évolution nuisant
À la logique de l’histoire
La nudité ne suffisant
On inventa des accessoires.
Et les hommes aimant la sottise
Furent à nouveau insatisfaits
Car la sensuelle entreprise
N’est fruit que d’un commun attrait.
Fuyez les fallacieux outils
la nature a le nécessaire
Pour emmener au paradis
Les attirances exemplaires.
