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Partir !
Chant cruel ! Au réveil du matin, je t’entends
Murmurer, tu me dis, pars ! Pars vers ton destin
Largues les voiles et prends la mer, il est tentant
De tout quitter, de partir, même clandestin.
Et je suis parti, chercher, quérir aventures
Sur ce grand et beau bateau, tel un marin
Affrontant l’océan, et du haut des mâtures
J’ai vu voler l’albatros, parmi les embruns.
A la tombée du jour, sous la voûte nocturne
On peut quelquefois voir, si le temps est au clair
Quand apparait au loin, la lune taciturne
Briller de tous leurs feux, les sirènes stellaires.
Un jour de grand vent, il peut parfois arriver
Que l’esprit du large, vous pousse vers l’azur
N’emportez que vos rêves, et dès l’arrivée
Sur l’île, jetez l’ancre, abaissez la voilure !
Sentez-vous ces caresses d’eau, de vent et d’air
Qui appellent au large, tous les navigateurs
Et rêvez-vous à ces marins, à l’âme corsaire
Parcourant l’océan, en vrais explorateurs.
Quittez vos logis et prenez un beau vaisseau
Tout en bois, tenez-vous, à la proue du navire
Fermez les yeux, videz vos esprits, le faisceau
De la Lune, va vous bercer et vous ravir.
Larguez les amarres et partez pour l’aventure
Car vous ressentez en vous, ce besoin charnel
Oubliez hier, vous voguez vers le futur
Sur les flots abyssaux, de la mer éternelle !
Chant cruel ! Au réveil du matin, je t’entends
Murmurer, tu me dis, pars ! Pars vers ton destin
Largues les voiles et prends la mer, il est tentant
De tout quitter, de partir, même clandestin.
Et je suis parti, chercher, quérir aventures
Sur ce grand et beau bateau, tel un marin
Affrontant l’océan, et du haut des mâtures
J’ai vu voler l’albatros, parmi les embruns.
A la tombée du jour, sous la voûte nocturne
On peut quelquefois voir, si le temps est au clair
Quand apparait au loin, la lune taciturne
Briller de tous leurs feux, les sirènes stellaires.
Un jour de grand vent, il peut parfois arriver
Que l’esprit du large, vous pousse vers l’azur
N’emportez que vos rêves, et dès l’arrivée
Sur l’île, jetez l’ancre, abaissez la voilure !
Sentez-vous ces caresses d’eau, de vent et d’air
Qui appellent au large, tous les navigateurs
Et rêvez-vous à ces marins, à l’âme corsaire
Parcourant l’océan, en vrais explorateurs.
Quittez vos logis et prenez un beau vaisseau
Tout en bois, tenez-vous, à la proue du navire
Fermez les yeux, videz vos esprits, le faisceau
De la Lune, va vous bercer et vous ravir.
Larguez les amarres et partez pour l’aventure
Car vous ressentez en vous, ce besoin charnel
Oubliez hier, vous voguez vers le futur
Sur les flots abyssaux, de la mer éternelle !